Cette thèse s'intéresse au présent des musiques urbaines congolaises (RDC) dans leurs rapports à la vie quotidienne, à l'histoire et à l'identité de sa capitale Kinshasa. Partant d'une intuition fondamentale de Claude Lévi-Strauss (la musique serait
, et empirique, comme ethnographie des conduites et des savoir-faire qui lui sont associées à Kinshasa, la thèse cherche ainsi à dépasser les écueils du culturalisme en interrogeant la manière dont la « globalisation » met en mouvement les notions