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  • Musique arabe, folklore de France ? : musique, politique et communautés musiciennes en contact à Alger durant la période coloniale (1862-1962)
  • plus significatif dans le champ d’une histoire culturelle de la France : il révèle – contre toute attente ? – qu’en France, le multiculturalisme n’est pas une fonction de l’impérialisme. Considérer un instant qu’Alger n’est pas foncièrement « coloniale
  • le produit d’un dialogue entre Européens et indigènes. Ainsi, entre 1862 et 1962, il est possible de parler de chemin « franco-musulman » parcouru par les musiques d’Algérie ; chemin qui contribue à modeler leur forme et qui révèle que la portée
  • » entre 1862 et 1962, reconnaître qu’elle a un temps partagé le destin de l’hexagone et constater qu’elle est un lieu d’application d’une politique culturelle de la diversité interroge le jacobinisme français, dont on répète pourtant à l’envie, qu’il est
  • Dans cette thèse, nous tâchons de démontrer que l’histoire de la musique à Alger entre les années 1860 et l’indépendance ne peut se passer d’une approche en termes de rencontre et de transferts entre les expressions musicales européennes et
  • indigènes. Spectacle vivant et lieu de rencontre, la pratique musicale a été saisie très tôt au cours du XXe siècle comme un moyen de travailler au rapprochement des communautés ; un des principes auquel ont œuvré de nombreux acteurs de la société civile
  • , appuyés de manière croissante par les autorités publiques. Le frottement soutenu entre les différents genres musicaux a contribué à en former et à en consolider les contours, de sorte que la musique dite aujourd’hui « çan‘a » ou « andalouse » d’Alger est
  • Croissance urbaine et developpement : villes de la France et du Maroc : esquisse d une comparaison historique et methodologique
  • Maroc - (France) - Afrique du Nord - Afrique - Geographie urbaine - Urbanisme - Pouvoirs publics
  • Maroc ; France
  • De la station balnéaire au lieu de mémoire : Alexandrie et la bataille d’El-Alamein, arromanches et le débarquement du 6 juin : histoire d’un développement comparé (1860 - 1965)
  • France
  • Lieu de mémoire
  • victoire en France, sur les plages du débarquement du 6 juin 1944, dont Arromanches était l’un des premiers théâtre des combats. Outre le développement touristique, la thèse expose les travaux qui ont transformé ces sites pour perpétuer l'histoire: comment
  • Cette thèse présente une étude comparative qui s’impose entre deux villes dont les circonstances historiques et les développements urbains sont similaires à plus d’un aspect. L’une est française, l’autre égyptienne. Il s’agit d’Arromanches et
  • d’Alexandrie. La première, une simple bourgade de pêche, se transforme petit à petit à une activité maritime, pour devenir une station balnéaire de renommée sur la côte normande. De l’autre côté, Alexandrie qui non seulement s’est grandie dans l’espace, mais
  • elle s’est entourée de quelques petites stations satellites estivales profitant de sa réputation balnéaire. Cette recherche a dû revenir un siècle environ en arrière, afin de maitriser le développement des deux villes côtières dès la moitié du XIXème
  • siècle. Mais, il y a surtout l’aspect historique. Lorsque les Alliés, pendant la Seconde Guerre mondiale, ont réalisé leur victoire en en Egypte, celle d’El- Alamein, où les Allemands ont dû également reculer en 1942. Cette côte rappelle, donc, une autre
  • ces deux localités qui ont marqué la Seconde Guerre mondiale sont-elles devenues de lieux de mémoire, par excellence? Des monuments commémoratifs avec des musées ont été bâtis, et des terrains ont été réservés pour de nombreux cimetières. D’autre part
  • France ; Egypte
  • Les colonies de l'industrie en Algérie : histoire et patrimoine de la cité minière de Béni-Saf (Mokta-El-Hadid, XIXe-XXe siècle)
  • Mine de fer
  • France. Grâce au minerai pur Algérien, Mokta-el-Hadid devient une puissante compagnie minière qui n'hésite pas à réorganiser le marché du fer en France. Le patronat français qui importe en Algérie ses moyens de production, importe par la même occasion ses
  • architectures et ses modes d'habiter. Ce travail de thèse propose une réflexion approfondie sur l'histoire de l'industrie minière coloniale en Algérie et son mode d'établissement urbain. Il évoque les conditions pratiques et idéologiques des modalités d'action
  • radicalement cette morphologie par la volumétrie des nouvelles constructions, le mode de vie social et la politique non conservatrice du patrimoine bâti. Il convient donc de s'interroger sur les pratiques et la représentation du patrimoine industriel colonial
  • Les cités ouvrières d'origine minière voient le jour en Algérie dans la seconde moitié du XIXe siècle. Elles sont le fait d'une industrie extractive de fer mise au point par la colonisation pour soutenir le développement industriel sidérurgique en
  • du patronat colonial sur les groupes sociaux et leur espace de vie. Les cités ouvrières, construites en Algérie entre 1870 et 1940, répondent à des considérations à la fois économiques, structurées par une morale patronale et coloniales, marquées par
  • un établissement pérenne d'une population ouvrière européenne en Algérie. L'analyse de l'espace urbain de la cité minière de Béni-Saf, dans le nord-ouest algérien, montre une intéressante richesse de typologie de bâti. Sa morphologie urbaine est
  • De nouvelles articulations entre les politiques publiques et les pratiques sportives auto-organisées : l'exemple des sept communes de Yaoundé (Cameroun)
  • De nombreux travaux sociologiques ont analysé les processus de développement des pratiques auto-organisées. En France, ils ont notamment montré le rôle structurant des acteurs publics qui ont accompagné, en particulier par leurs politiques
  • d’équipement et d’aménagement d’espaces sportifs, la naissance puis le développement de ces activités sportives peu institutionnalisées. L’analyse comparée des sept communes de Yaoundé (capitale du Cameroun) montre que cette articulation entre les politiques
  • sportives et les pratiques auto-organisées pourrait se construire autrement dans les pays en voie de développement. Le cadre théorique, structuré autour des concepts « d’action publique » et « d’innovation sociale », a centré l’analyse sur deux hypothèses
  • . La première envisage la faible influence des politiques publiques sur les espaces urbains dédiés à la pratique sportive de proximité. La deuxième renvoie à la capacité des pratiquants auto-organisés à inventer des modalités originales d’accès aux
  • espaces sportifs. Au plan empirique, trois techniques de recueil de matériaux ont été combinées : l’analyse documentaire pour appréhender la place des espaces sportifs à Yaoundé, l’observation non participante (un « circuit urbain » a produit un
  • recensement inédit des lieux de pratiques) et les entretiens semi-directifs pour analyser les mécanismes d’appropriation des espaces sportifs. L’analyse des matériaux empiriques montre que l’espace sportif de Yaoundé est davantage structuré par une
  • Le complexe industrialo-portuaire de Jorflasfar (Maroc) ; une comparaison avec la ZIP de Fos-sur-mer.
  • El Jadida - Fos-sur-mer - Maroc - France - Afrique du Nord - Afrique - Industrialisation - Complexe industrialo-portuaire
  • Maroc ; France
  • Parcours urbains quotidiens : l habitude dans la perception des ambiances
  • Tunis - Grenoble - Tunisie - France - Afrique du Nord - Afrique - Anthropologie de l Espace - Ville Nouvelle - Periurbanisation - Urbanisme - Jardin
  • Tunisie ; France
  • L ile de Saint-Louis du Senegal, formes spatiales et formes sociales
  • Saint-Louis - Senegal - Afrique de l Ouest - Afrique - Architecture - Amenagement Urbain - Amenagement Urbain - Seismes - Urbanisme - Population Urbaine
  • Les mairies des "autres" : une analyse politique, socio-historique et culturelle des trajectoires locales : le cas d Angoche, de l Ile de Mocambique et de Nacala Porto
  • L’Enseignement de l’architecture à l’École des beaux-arts d’Alger et le modèle métropolitain : réceptions et appropriations (1909-1962)
  • en Algérie et la naissance de l'école algérienne. Cette recherche, qui fait confluer histoire de l'enseignement en France et histoire de la colonisation, s'est notamment construite sur les interrogations suivantes : quelle forme l'enseignement de
  • l'architecture en Algérie a-t-il revêtu durant la période coloniale? Transplantation à l'identique du modèle pédagogique instauré par les Beaux-Arts de Paris, adaptation ou refondation? Quelle part a pris la dimension régionale dans l'éducation architecturale
  • En 1881, un atelier d'architecture est fondé à l'École nationale des beaux-arts d'Alger. Jusqu'en 1940, les programmes, les concours, ainsi que les jugements et les récompenses dépendent de patrons et de jurys locaux. À partir de 1940, l'atelier
  • devient régional et intègre le giron de l'École des beaux-arts de Paris. C'est la seule structure appartenant à l'empire colonial français à s'être vu accorder ce statut. Alors que l'évolution des pensées architecturales et urbaines d'Alger durant la
  • période française a fait l'objet de nombreuses recherches, l'histoire de la formation des architectes dans cette ville est quant à elle demeurée inexplorée. Cette thèse vient donc lever le voile existant autour du modèle pédagogique développé en Algérie
  • premier architecte français natif d'Algérie à la tête de l'atelier d'architecture. Cet avènement est le point de départ d'un enseignement de l'architecture plus structuré et mieux organisé. Quant à l'année 1962, elle signe la fin de la présence française
  • Exploitation aurifere et mutations sociales en milieu rural : cas des mines d'or de Morila (commune rurale de Sanso)
  • Afrique de l'Ouest
  • Mode de vie
  • choisi ce site car il est considéré comme exemplaire tant par sa forte production aurifère (avec plus 20 millions de minerais en 2012, depuis sa mise en service elle a injecté 400 milliards Franc CFA dans l’économie nationale) que pour les projets de
  • L’interaction entre ceux qui se définissent comme autochtones et les allochtones s’illustre de façon manifeste dans la commune rurale de Sanso en raison de la découverte et de l’exploitation d’une mine d’or à partir de l’année 2000. Nous avons
  • développement mis en place par la société minière. Nous avons analysé les changements sociaux au-delà des discours politiques, juridiques et économiques sur l’or tout se référant sur l’environnement social et les changements qui le caractérisent, L’implantation
  • des allochtones a provoqué de nombreuses modifications qui affectent les relations sociales telles que tes systèmes de parenté, les stratégies d’alliance ou encore les règles de pouvoir. Notre recherche s’est focalisée sur les interactions entre les
  • autochtones et les allochtones. Les comportements traditionnels sociaux, politiques ou quotidiens ont connu des mouvements au profit de la généralisation d’un mode de vie unique inspiré par la ville. Notre problématique se résume donc à la question suivante
  • : quels sont les changements provoqués par le déséquilibre démographique entre les habitants originaires de la commune et ceux qui sont venus s’y installer depuis l’exploitation de la mine et les incidences sur les conditions socio-économiques de la
  • L ensemble immobilier > a Alger : contribution a l histoire de la pensee urbaine et architecturale de Fernand Pouillon en Algerie
  • Le site urbain : potentialites : reflexions sur le developpement responsable et equilibre des etablissements umains a partir de six exemples francais, egyptiens et australiens
  • Egypte - France - Australie - Afrique du Nord - Afrique - Demographie - Epidemiologie - Site Urbain - Croissance Urbaine - Schema Directeur d Amenagement
  • Egypte ; France ; Australie
  • Approche comparative de l appropriation de la telephonie mobile et de l internet dans les lieux d acces publics des villes de Rennes et de Thies
  • Thies - (Rennes) - Senegal - (France) - Afrique de l Ouest - (Europe) - Afrique - Telephonie mobile - Internet - Appropriation - Identites culturelles - Fracture numerique
  • Universite de Rennes II
  • Sénégal ; France
  • Fermetures et porosités dans les territoires urbains à Fort-de-France (Martinique) et Port of Spain (Trinidad et Tobago)
  • Fort-de-France
  • longtemps similaires : Fort-de-France, dans le département de la Martinique, et Port of Spain, capitale de la République de Trinidad et Tobago. Les fermetures délimitent et séparent, mais elles se définissent aussi par leur degré de porosité et par les mises
  • qui sont envisagées par les pouvoirs publics, à Fort-de-France, comme une menace pour la cohésion urbaine. Cette analyse n’est pas partagée à Port of Spain où l’échelle nationale prime sur l’échelle de la ville dans les logiques gestionnaires. La thèse
  • Cette recherche s’inscrit dans le cadre des études sur la fragmentation urbaine. Elle privilégie les notions de fermeture et de porosité pour confronter les dynamiques territoriales à l’œuvre dans deux villes caribéennes aux caractéristiques
  • en relation qu’elles organisent, ce que la thèse tente de souligner, d’abord, sous l’angle des paysages urbains. Quoique souvent adossées à des divisions anciennes, héritées de la ville coloniale, les fermetures se déploient sous des formes nouvelles
  • s’appuie notamment sur les résultats de deux enquêtes de terrain pour mieux comprendre le jeu de ces délicates articulations et désarticulations d’échelles, qui nourrissent les phénomènes de fermeture dans la ville. La première enquête met en évidence les
  • trajectoires divergentes de deux quartiers situés sur les marges sociales et spatiales des deux villes, Volga Plage et Sea Lots, dans un contexte de redéfinition des limites entre ville, mer et port. La seconde enquête, réalisée auprès de 228 écoliers, permet
  • Fort-de-France ; Port of Spain
  • Une migration entre consecration et disqualification sociales : relations franco-congolaises (Congo-Brazzaville) et trajectoires des migrants pour etudes en France (1960-2005)
  • Le design urbain et l effet des facteurs culturels et sociaux : Le Caire et Marseille : imagibilite orientale et occidentale
  • Le Caire - Marseille - Egypte - (France) - Afrique du Nord - (Europe) - Afrique - Design urbain - Sociologie urbaine - Perception - Anthropologie urbaine - Espaces pauperises
  • Egypte ; France
  • Les dispositifs institutionnels dans les politiques de lutte contre l’exclusion urbaine - Le cas des dispositifs participatifs dans le PNRU en France et dans l’INDH en milieu urbain au Maroc : Approche comparative entre deux métropoles françaises
  • France
  • mis en place dans le cadre du « Programme national de rénovation urbaine » en France et de l’« Initiative nationale pour le développement humain en milieu urbain » au Maroc. Cela permet de comprendre les points communs et divergents entre les deux cas
  • étudiés. Cette recherche s’appuie sur le recueil d’environ 70 entretiens semi-directifs. Ceux-ci ont été réalisés avec des acteurs publics et associatifs impliqués dans le « PNRU » en France et dans l’« INDH en milieu urbain » au Maroc. Cette thèse montre
  • L’objectif de ce travail est de chercher à comprendre comment des dispositifs participatifs génèrent des effets au niveau de la relation entre les représentants des pouvoirs publics et les représentants associatifs mobilisés autour des dispositifs
  • que les dispositifs participatifs mis en œuvre dans le cadre du Programme national de rénovation urbaine et de l’INDH en milieu urbain, contribuent à transformer la relation entre les représentants des pouvoirs publics et les représentants associatifs
  • . Ces dispositifs ont donné lieu à l’émergence de « professionnels » de la participation. L’enquête montre par ailleurs que les pouvoirs publics utilisent les ressources associatives pour produire de l’action publique dans les quartiers populaires. Dans
  • ce cadre, les acteurs associatifs accomplissent des actions qui devraient être réalisées par des agents publics.
  • France ; Maroc
  • Les stratégies d'adaptation à la congestion automobile dans les grandes métropoles : analyse à partir des cas de Paris, São Paulo et Mumbai
  • France
  • Politique des transports
  • dans ces grandes métropoles préfigure-t-elle l'avenir de l'Île-de-France, compte tenu d'une offre viaire qui se stabilise et d'une multiplication des déplacements automobiles de banlieue à banlieue ? Nous partons de la définition de la congestion
  • automobile comme une perturbation interne du système automobile. A partir d'une approche systémique et comparative, nous étudions les manifestations sociales, spatiales et temporelles de la congestion automobile en Île-de-France et dans deux régions
  • interactive de réponses déclarées auprès des ménages motorisés, suivie d'un questionnaire en Île-de-France.
  • L'objectif de cette recherche est d'analyser le rôle de la congestion automobile dans la vie quotidienne des ménages motorisés des grandes métropoles. La congestion est-elle plus intense dans les grandes métropoles des pays émergents ? La situation
  • métropolitaines de pays émergents, São Paulo au Brésil et Mumbai en Inde. L'étude s'appuie sur les enquêtes de déplacements des ménages et les données du trafic. Puis, nous examinons comment la puissance publique, les acteurs collectifs intermédiaires et les
  • ménages motorisés de ces métropoles s'adaptent à la congestion et interagissent. Pour cela, nous menons une évaluation de la politique de transport de ces régions, enquêtons sur les stratégies des entreprises et des associations, et réalisons une enquête
  • France ; Brésil ; Inde
  • Les reseaux de transport a Djibouti et le developpement economique et social
  • Djibouti - Djibouti - Afrique de l Est - Afrique - Infrastructure de transport - Investissements de capitaux - Croissance endogene - Developpement economique
  • Universite Pierre Mendes France (Grenoble)