inscription
Portail d'information géographique

Résultats de la recherche (59 résultats)

Affinez votre recherche

Par Collection Par Auteur Par Date Par Sujet Par Titre Par ville ? Par pays ? Par continent ?
  • Musique arabe, folklore de France ? : musique, politique et communautés musiciennes en contact à Alger durant la période coloniale (1862-1962)
  • plus significatif dans le champ d’une histoire culturelle de la France : il révèle – contre toute attente ? – qu’en France, le multiculturalisme n’est pas une fonction de l’impérialisme. Considérer un instant qu’Alger n’est pas foncièrement « coloniale
  • le produit d’un dialogue entre Européens et indigènes. Ainsi, entre 1862 et 1962, il est possible de parler de chemin « franco-musulman » parcouru par les musiques d’Algérie ; chemin qui contribue à modeler leur forme et qui révèle que la portée
  • » entre 1862 et 1962, reconnaître qu’elle a un temps partagé le destin de l’hexagone et constater qu’elle est un lieu d’application d’une politique culturelle de la diversité interroge le jacobinisme français, dont on répète pourtant à l’envie, qu’il est
  • Dans cette thèse, nous tâchons de démontrer que l’histoire de la musique à Alger entre les années 1860 et l’indépendance ne peut se passer d’une approche en termes de rencontre et de transferts entre les expressions musicales européennes et
  • indigènes. Spectacle vivant et lieu de rencontre, la pratique musicale a été saisie très tôt au cours du XXe siècle comme un moyen de travailler au rapprochement des communautés ; un des principes auquel ont œuvré de nombreux acteurs de la société civile
  • , appuyés de manière croissante par les autorités publiques. Le frottement soutenu entre les différents genres musicaux a contribué à en former et à en consolider les contours, de sorte que la musique dite aujourd’hui « çan‘a » ou « andalouse » d’Alger est
  • Les colonies de l'industrie en Algérie : histoire et patrimoine de la cité minière de Béni-Saf (Mokta-El-Hadid, XIXe-XXe siècle)
  • Mine de fer
  • France. Grâce au minerai pur Algérien, Mokta-el-Hadid devient une puissante compagnie minière qui n'hésite pas à réorganiser le marché du fer en France. Le patronat français qui importe en Algérie ses moyens de production, importe par la même occasion ses
  • architectures et ses modes d'habiter. Ce travail de thèse propose une réflexion approfondie sur l'histoire de l'industrie minière coloniale en Algérie et son mode d'établissement urbain. Il évoque les conditions pratiques et idéologiques des modalités d'action
  • radicalement cette morphologie par la volumétrie des nouvelles constructions, le mode de vie social et la politique non conservatrice du patrimoine bâti. Il convient donc de s'interroger sur les pratiques et la représentation du patrimoine industriel colonial
  • Les cités ouvrières d'origine minière voient le jour en Algérie dans la seconde moitié du XIXe siècle. Elles sont le fait d'une industrie extractive de fer mise au point par la colonisation pour soutenir le développement industriel sidérurgique en
  • du patronat colonial sur les groupes sociaux et leur espace de vie. Les cités ouvrières, construites en Algérie entre 1870 et 1940, répondent à des considérations à la fois économiques, structurées par une morale patronale et coloniales, marquées par
  • un établissement pérenne d'une population ouvrière européenne en Algérie. L'analyse de l'espace urbain de la cité minière de Béni-Saf, dans le nord-ouest algérien, montre une intéressante richesse de typologie de bâti. Sa morphologie urbaine est
  • L’Enseignement de l’architecture à l’École des beaux-arts d’Alger et le modèle métropolitain : réceptions et appropriations (1909-1962)
  • en Algérie et la naissance de l'école algérienne. Cette recherche, qui fait confluer histoire de l'enseignement en France et histoire de la colonisation, s'est notamment construite sur les interrogations suivantes : quelle forme l'enseignement de
  • l'architecture en Algérie a-t-il revêtu durant la période coloniale? Transplantation à l'identique du modèle pédagogique instauré par les Beaux-Arts de Paris, adaptation ou refondation? Quelle part a pris la dimension régionale dans l'éducation architecturale
  • En 1881, un atelier d'architecture est fondé à l'École nationale des beaux-arts d'Alger. Jusqu'en 1940, les programmes, les concours, ainsi que les jugements et les récompenses dépendent de patrons et de jurys locaux. À partir de 1940, l'atelier
  • devient régional et intègre le giron de l'École des beaux-arts de Paris. C'est la seule structure appartenant à l'empire colonial français à s'être vu accorder ce statut. Alors que l'évolution des pensées architecturales et urbaines d'Alger durant la
  • période française a fait l'objet de nombreuses recherches, l'histoire de la formation des architectes dans cette ville est quant à elle demeurée inexplorée. Cette thèse vient donc lever le voile existant autour du modèle pédagogique développé en Algérie
  • premier architecte français natif d'Algérie à la tête de l'atelier d'architecture. Cet avènement est le point de départ d'un enseignement de l'architecture plus structuré et mieux organisé. Quant à l'année 1962, elle signe la fin de la présence française
  • L ensemble immobilier > a Alger : contribution a l histoire de la pensee urbaine et architecturale de Fernand Pouillon en Algerie
  • Analyse historique et comparative des deux villes : la vieille ville d'Aix-en-Provence, la médina de Constantine à l'aide des S.I.G. : Comparaison historique et géographique de la croissance de deux villes méditerranéennes
  • France
  • De nombreux domaines d'applications utilisent des représentations spatiales. C'est le cas de l'architecture, de l'urbanisme ou de la géographie. L'acquisition de ces données spatiales en urbanisme a connu ces dernières années des progrès
  • significatifs grâce à l'introduction de nouveaux instruments de mesure. Ces derniers permettent d'obtenir des supports d'analyse urbaine à différents niveaux de détails et pour différentes finalités. Cette thèse propose une approche permettant de combiner deux
  • disciplines, la typo-morphologie urbaine et la géomatique. Nous avons expliqué la notion centrale de processus morphologique, les différentes étapes d'opération propre à l'analyse historique, notamment le traitement des sources cartographiques avec l'outil
  • S.I.G. Notre travail a avant tout consisté à explorer l'apport des S.I.G. au traitement et à l'analyse des données historiques. Nous nous sommes intéressés particulièrement à l'approche typo-morphologique pour compléter le potentiel interprétatif et
  • descriptif. Notre travail de thèse est issu de différentes étapes, nous pouvons mentionner la construction d'une classification formelle, des concepts liés à l'évolution historique et morphologique des villes de Constantine et d'Aix-en-Provence. En partant de
  • cette histoire urbaine, comparer ces deux villes à permis d'établir une chronologie de l'évolution des formes urbaines, de mieux saisir les enjeux de chacune de celles-ci.
  • France ; Algérie
  • Gestion de l'eau en situation de pénurie : le cas de la ville de Tamanrasset (Sahara central)
  • Gestion de l'eau
  • rotation du distribution élaboré par l’A.D.E. Pour résoudre le problème de la pénurie d’eau; il a fallu attendre l’intervention de l’état algérien par la réalisation d’un grand projet d’adduction en transférant des eaux fossiles (albienne) du bas Sahara
  • vers la ville de Tamanrasset (700 km). Il est à signaler que ce passage d’une gestion de pénurie vers celle d’abondance reste un défi qui nécessite plus de moyens et d’attention. D’une manière plus précise, le travail que nous avons mené concerne les
  • La ville de Tamanrasset comme une ville récente du Sahara central, a été confrontée au long de son histoire à un problème d’approvisionnement en eau potable. Cette situation qui endure la population de la ville a dû d’une croissance démographique
  • rapide (sédentarisation, immigration), une urbanisation anarchique et à des ressources en eau très limites. Avec, la persistance de la pénurie, les difficultés d’accès à l’eau potable, et une gestion étatique inefficace, les habitants ont toujours fait
  • recours aux services des revendeurs d’eau par les camions-citernes, et ont développé des dispositifs de stockage plus au moins sophistiqués pour assurer une consommation régulière à l’intérieur de l’habitation, tout en étant indépendant du programme de
  • interactions entre le rationnement, imposé par les services de l’eau de la ville en conséquence du manque d’eau et d’une politique de gestion inadéquate avec les spécificités locales, et les solutions envisagées par les usagers et l’état.
  • Risques de crue et de ruissellement superficiel en métropole méditerranéenne : cas de la partie ouest du Grand Alger
  • Le Grand Alger est bâti sur les contreforts des collines du Sahel. Par son positionnement et à l'image des autres métropoles méditerranéennes, il s'inscrit dans un contexte d'instabilité particulièrement cyclogénétique, qui se manifeste en surface
  • terrestre avec des phénomènes d'inondation, de crue et de ruissellement superficiel. Néanmoins, le Grand Alger fait l'exception avec l'ampleur que prennent les dégâts occasionnés par le passage de ce type d'événement. L'événement des 9-10 novembre 2001, qui
  • a affecté la partie ouest du Grand Alger, reflète parfaitement ce propos. Les crues déclenchées par cet événement ont causé des dégâts matériels et des pertes en vie humaine inégalés dans le bassin méditerranéen. Dans ce travail, en employant des outils de
  • traitement classiques et de simulation numérique, on a essayé de comprendre au mieux le comportement de l'hydrosystème dans sa globalité (facteurs météorologiques, hydrogéomorphologiques et anthropiques). On a ensuite hiérarchisé les facteurs prédisposants
  • -déclenchants-aggravants de crue et de ruissellement superficiel dans cette région. Les résultats de l'ensemble des analyses réalisées ont servi à quantifier et cartographier le risque. Au final, on propose de nombreuses mesures d'intervention (combinaison de
  • mesures structurales et non structurales) dans le but de réduire le niveau important du risque actuel.
  • Fabriquer des centralités marchandes dans le monde arabe : étude comparée de deux quartiers-marchés du commerce transnational au Caire et à Oran
  • comprendre l’ancrage de la mondialisation dans des souks intra-urbains. Le commerce transnational s’inscrit dans deux centralités commerciales héritées qui se déploient à plusieurs échelles et qu’il requalifie. Dans un second temps, il apparaît que les
  • À travers l’étude de deux ancrages urbains situés sur quelques-uns des chemins discrets et labiles de la mondialisation, le Mūskī au Caire (Égypte) et Médina J'dida à Oran (Algérie), la thèse propose une géographie de la ville marchande en contexte
  • mondialisé. Elle se penche sur les effets territoriaux de circulations de biens de consommation courante fabriqués en Asie orientale, et montre que la mondialisation et ses opérateurs – les entrepreneurs-marchands algériens et égyptiens – sont des moteurs
  • puissants de la fabrique urbaine dans le Monde arabe. Elle apporte ainsi un éclairage renouvelé sur les échelles de la production de la ville marchande, y compris dans ses espaces les plus discrets, et propose une lecture au plus près des acteurs urbains
  • , certes peu visibles, mais dont les stratégies économiques, sociales et spatiales participent à la fabrique de la ville.Dans un premier temps, le rôle de structurations commerciales et urbaines plus anciennes des quartiers-marchés est mis en évidence pour
  • importations de produits fabriqués en Asie orientale modifient en profondeur ces souks en contribuant à une nouvelle organisation spatiale de ces marchés. Avec ces circulations de biens, se diffusent également des modèles culturels, qui touchent à la fois les
  • La revalorisation du patrimoine bâti par l'espace public : les cas de la Vieille Ville de Constantine (Algérie) et l'éco-quartier de Vauban à Fribourg-en-Brisgau (Allemagne)
  • énergivore et polluant.Les villes durables peuvent-elles être considérées comme la meilleure alternative à tous les problèmes? Revenir vers la ville ancienne comme l’avait souhaité C. Sitte, peut-il constituer une solution pour demain ? Qu’en est-il de la
  • Médina de Constantine parfois perçue comme une « non-ville » ? Qu’en est-il de son patrimoine ? Notre questionnement porte sur le rôle que peuvent jouer les espaces publics dans la revalorisation du patrimoine bâti pour en faire un lieu vivable, durable
  • Dans un monde de plus en plus urbanisé, qui vit une crise caractérisée en partie par les exclusions, la ségrégation et l’accélération des mobilités (T. Paquot, 2012), l’espace public est sacrifié, la qualité de vie dégradée, le mode de vie
  • et apprécié. Dans ce contexte, la vieille ville de Constantine avec son histoire, sa morphologie et son évolution urbaine, représente le coeur de notre recherche, laquelle s’appuie sur une démarche comparative avec l’écoquartier Vauban à Fribourg-en
  • -Brisgau qui sert comme référence pour conduire ce travail.Les espaces publics sont donc au centre de notre travail, afin de mettre en valeur le patrimoine bâti et améliorer la qualité de vie des habitants et des usagers, loin des objectifs de la seule
  • patrimonialisation. Cette thèse de doctorat cherche à montrer que la Médina est un bon enseignement et une alternative à la ville d’aujourd’hui, notamment lorsqu’elle est croisée avec la ville durable. Nous avons choisi, d’intégrer le développement durable à la
  • Forme de ville rencontre des formes de vie et de l’imaginaire de l’habiter
  • Image de la ville
  • Espace de l’habiter
  • : (« l’humain habite en poète », poème : «Terre et ciel»), la représentation de la perception de l’espace de l’habiter remet la question : l’humain habite-t-il en poète à Guelma ? Sur cette perspective se constitue le fondamental de cette thèse qui fait du monde
  • La présente recherche se propose d’étudier la représentation de la perception des acteurs de l’habiter qui n’aspirent qu’à l’adaptabilité de leur monde de vie [l’espace habité]. Cette recherche sort ainsi du cadre des limites qui visent à structurer
  • l’espace de l’habiter uniquement dans sa morphologie, sa location et son mode conceptuel. Elle s’applique à être celle qui traduit la réalité des activités de l’habiter, conditionnées très souvent par les décisions politiques de manière significative. Cette
  • réalité agit comme une force qui nous pousse à mieux la comprendre. Et delà savoir comment s’enracine et se fonde l’expérience du monde de la vie qui s’établit dans un cadre particulier, la ville de Guelma (ville de l’est algérien). En faisant référence à
  • l’interprétation de Husserl (Idées I) sur le catégorial du monde de la vie qui porte très haut le sens de l’espace de l’habiter. Dans cette logique, si le champ des singularités des activités de l’habiter insère l’être-au-monde, la pensée de Hölderlinienne
  • de la vie, un espace de l’habiter poétique que l’on ne saurait le définir qu’à travers les pratiques qui paraissent dans les gestes, la parole, l’évaluation, le rêve, la flânerie, la signification affective du paysage quotidien, les histoires
  • Du tourisme informel à la mise en tourisme d'un littoral. Les effets spatiaux. Cas de la région littorale d'Azeffoun (Kabylie occidentale, Algérie).
  • armature à l'occupation de l’espace, avec de nouvelles formes de production du cadre bâti. Les facteurs à l'origine de cette urbanisation sont multiples et ils sont générés particulièrement depuis que la région est devenue une destination très fréquentée
  • mini-terrains de jeux, ou encore des piscines. Il s'agit alors pour nous, à travers cette thèse, de démontrer la capacité du pouvoir du tourisme dans la transformation de cette région littorale d'Azeffoun, principalement sur le plan de l'occupation de
  • La thèse porte sur le tourisme interne dans la société algérienne, en focalisant l’attention sur les effets spatiaux. La région étudiée correspond à la bande littorale qui s'étend, dans la partie occidentale de la Kabylie, de part et d'autre de la
  • petite ville d'Azzefoun. Des premières fréquentations touristiques à sa mise en tourisme, bien que nous sommes qu'au début, larégion qui était longtemps restée rurale est aujourd'hui en cours d'urbanisation soudaine et intense, donnant ainsi une nouvelle
  • par les populations touristiques, principalement par les nationaux et les émigrés pour des séjours de vacances, notamment en période estivale. Beaucoup de signes montrent que le tourisme est le principal facteur dans les nouvelles formes d’occupation
  • de l’espace, et de production et d’organisation du bâti, qui se manifestent aujourd'hui tout au long de cette région littorale d'Azeffoun. Ces signes du tourisme dans la nouvelle manière de concevoir et d'occuper l'espace aujourd’hui dans la région
  • replace la ville au cœur de la réflexion et l'envisage d'abord et avant tout comme un construction sociale. Il s'agit ainsi d'interroger les catégories spatiales utilisées dans les sources mais également de mettre à l'épreuve nos concepts contemporains, et
  • tout particulièrement celui de capitale. En effet, la chute de l'Empire almohade dans la première moitié du VIIe-XIIIe siècle entraîne l'émergence de nouveaux pouvoirs au Maghreb et Tlemcen devient alors la capitale du royaume abdelwadide. Ce nouveau
  • statut est d'abord appréhendé, dans une première partie, à travers les représentations dont la ville est l'objet dans l'historiographie abdelwadide mais aussi dans celles des autres dynasties maghrébines et, au-delà, en al-Andalus, dans les États latins
  • de la péninsule Ibérique ou dans l'Orient islamique. La seconde partie de l'étude se penche ensuite sur les pratiques et les acteurs sociaux qui façonnent au quotidien la capitale : le pouvoir politique, les saints et les savants et, à travers l'étude
  • d'un traité de hisba, certains groupes sociaux tels les femmes ou les dimmi-s. La troisième et dernière partie replace enfin la capitale dans un espace régional puis global afin de préciser de quel royaume Tlemcen a été la capitale et d'analyser les
  • Le grand projet de transformation de la ville algerienne, 1830-1870 : le cas de la ville de Bejaia, ex-Bougie
  • Gestion de l eau et pauvrete en Algerie : cas de la wilaya de Tlemcen
  • Tlemcen - Algerie - Afrique du Nord - Afrique - Gestion des ressources en eau - Stockage - Approvisionnement - Pauperisation
  • Universite de Versailles
  • Stockage et pratiques de l eau en situation de penurie dans la ville de Tlemcen (Algerie)
  • Tlemcen - Algerie - Afrique du Nord - Afrique - Geographie de l Eau - Approvisionnement en Eau - Stockage - Gestion des Ressources - Reseau d Eau
  • Modèles d'aménagement et d'urbanisation des Zones d'Expansion Touristique de la wilaya de Skikda (Algérie)
  • Le bassin méditerranéen est une zone touristique très développée, néanmoins, le taux du tourisme international varie d'un pays à l'autre. Cette recherche a donc pour but de situer le tourisme algérien par rapport aux autres pays du Maghreb (Tunisie
  • et Maroc) afin de comprendre le blocage de sa relance. Une analyse des différentes phases d’évolution du tourisme dans les trois pays a permis d’étudier les flux touristiques, la place du tourisme dans l’économie et les investissements touristiques
  • . La wilaya de Skikda est l’objet de cette étude grâce aux zones d’expansion touristiques considérées comme modèles pour le développement du tourisme. Trois zones d’expansion touristiques (ZET) et une station balnéaires ont fait l’étude de cette
  • recherche. Les projets d’aménagement de ces ZET s'inscrivent dans la volonté d'un développement respectueux des principes de développement durable du tourisme, assurant la préservation de l'environnement, des ressources naturelles et du patrimoine culturel
  • . L’exploitation des résultats des enquêtes et des entretiens auprès des professionnels du tourisme, des collectivités locales et des touristes ont permis de bien situer les différents blocages. Le problème de gouvernance et la centralisation des décisions a eu
  • pour effet de retarder encore la relance du tourisme en Algérie.
  • La compagnie genevoise des colonies suisses de Setif (1853-1956) : un cas de colonisation privee en Algerie
  • Universite de Lausanne
  • La fabrication plurielle de centralités dans la périphérie de Constantine : le cas de la ville nouvelle Ali Mendjeli
  • Politiques coloniales et urbanisme en Algerie : contribution a l etude de quelques-uns des fondements de l urbanisme algerien
  • L'intégration des dimensions environnementales et sociales dans les pratiques urbaines en Algérie : enjeux et perspectives
  • En Algérie, depuis 2001, la notion de développement durable devient l'un des référentiels essentiel des nouvelles orientations politiques et du cadre législatif. de nombreux projets d'amélioration urbaine, d'habitat et d'équipements, ainsi que de
  • grands projets structurants sont lancés, semblant prouver que la volonté des pouvoirs publics d'améliorer les conditions de vie des citoyens est bien réelle cependant, la question reste posée quant à la pertinence et la cohérence des choix
  • , particulièrement en matière d'aménagement urbain et de gestion du cadre bâti, avec la mise en pratique des objectifs du développement durable qui passe par une prise en compte non seulement de la dimension économique, mais également des dimensions environnementale
  • et sociale. Ce projet propose de mettre en lumière les conditions d'élaboration et de production des aménagements urbains en Algérie, en particulier, à travers deux axes de recherche:-le premier porte sur l'harmonisation entre les milieux urbain et
  • naturel, en analysant la ville à partir de sa situation écologique, angle de compréhension et d'étude peu exploré, pouvant offrir des possibilités d'innovation et d'amélioration en matière de développement urbain. Le second préconise la recherche de
  • processus d'habitat et d'aménagement incluant une vision plus large de la signification du terme social, qui dépasserait le modèle standard d''habitat pour catégories sociales démunies pour s'orienter vers un concept améliorant la prise en compte des