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  • La sociologie des mobilisations partisanes au Cameroun : les partis politiques dans l action collective en contexte de liberalisation post guerre froide
  • Cameroun - Afrique de l Ouest - Afrique - Opposition ("villes mortes") - Partis politiques - Sociologie politique
  • Afrique
  • Adaptation a la malnutrition dans les societes en transition nutritionnelle : etude des determinants biologiques, sociaux et culturels du developpement du surpoids chez les enfants en retard de croissance a Yaounde (Cameroun)
  • Yaounde - Cameroun - Afrique centrale - Afrique - Malnutrition chez l enfant - Obesite chez l enfant - Troubles de la croissance - Femmes - Conditions sociales
  • Afrique
  • Surgissement, prolifération et intégration des motos-taxis dans les villes camerounaises : les exemples de Douala et Bafoussam
  • Afrique centrale
  • Afrique
  • Accident de la route
  • Au cours des dernières décennies, la mobilité dans les villes camerounaises a été marquée par la croissance considérable du trafic des motos-taxis, qui constituent désormais le mode de déplacement dominant. La sédimentation actuelle des deux-roues
  • dans la circulation génère des nuisances, des problèmes et des coûts pour la collectivité et les usagers. La conséquence la plus directe provoquée par cette mutation de la mobilité est l’augmentation croissante des accidents. Les motos sont désormais au
  • coeur de violents conflits d’usage sur la voie publique. L’objectif de notre recherche est double, il s’agit d’abord d’améliorer la prise de conscience de l’importance des enjeux et des externalités et, ensuite, de proposer des pistes de réflexion pour
  • favoriser le passage d’une cohabitation conflictuelle à une cohabitation pacifique entre les motos-taxis et les autres usagers de la route. Celle-ci nécessite une réponse urbanistique, pédagogique, sociologique et politique, elle implique une gouvernance et
  • Afrique
  • Changements institutionnels, stratégies d'approvisionnement et de gouvernance de l'eau sur les hautes terres de l'Ouest Cameroun : exemples des petites villes de Kumbo, Bafou et Bali
  • Afrique centrale
  • Afrique
  • Gouvernance de l'eau
  • L’objectif de cette étude consistait à explorer la contradiction naissante entre d’une part, la politique de l’eau menée au Cameroun depuis l’indépendance et d’autre part, les réalités urbaines de contrôle et d’usage informels de l’eau. Les concepts
  • de « gouvernance » et de « communauté » ont été utilisés pour analyser comment les populations affirmaient, de façon individuelle ou collective, leurs droits sur l’eau et comment de telles revendications étaient légitimées. Les concepts de
  • « négociabilité » et de « flexibilité » ont permis de comprendre comment les droits d’utilisation et d’accès à l’eau étaient négociés et contestés en fonction de conditions changeantes. Le concept de « société civile » a été employé pour refléter le caractère
  • multi scalaire du pouvoir et sa normalisation dans des réseaux de la vie quotidienne, régulant ainsi les pratiques et les relations sociales. Les résultats montrent l’existence d’un grand nombre d’arrangements institutionnels de niveau local qui
  • régissent l’accès à l’eau potable dans les communautés. Les leaders traditionnels, les représentants élus et les comités de gestion des points d’eau potable tendent à se compléter dans le développement et l’application des arrangements institutionnels
  • . L’étude conclut que l’informalité des institutions et des droits de propriété dans la gouvernance de l’eau des petites villes semblent entretenir des situations socio-économiques complexes. Il s’agit là d’un point commun entre les trois sites étudiés. En
  • Afrique
  • Figures et imaginaires de la réussite sociale à Yaoundé : les enjeux moraux d’un débat public
  • Afrique centrale
  • Afrique
  • Les citadins camerounais expriment un sentiment de traverser une époque de « crise morale » en ce qui concerne la réussite sociale. Un ensemble de représentations et d’imaginaires associent la réussite à la dénonciation d’une dépravation des mœurs
  • . La critique de ses formes « dévoyées » porte tout autant, et simultanément, sur une dénonciation de la corruption, du népotisme, de l’arnaque et du simulacre, de l’homosexualité et de formes de sexualité jugées scandaleuses, que des « sectes » et des
  • « cercles » occultes, du « mysticisme », des « crimes rituels » et de toute une palette de pratiques rattachées aux imaginaires de la sorcellerie et de l’occulte. Cette thèse explore les enjeux liés à ce constat. L’observation des pratiques et du sens émique
  • de différents groupes sociaux urbains montre qu’il existe plusieurs faisceaux de normes, de valeurs et d’affects pour penser, juger et légitimer la réussite sociale. Un principe d’opposition ressort entre, d’un côté, une économie morale de la facilité
  • fondée sur la rapidité et la déconnexion du travail productif, et de l’autre coté, une économie morale du mérite articulée à la reconnaissance de la valeur du travail, du talent ou de la compétence. Cette opposition structure nombre d’enjeux moraux qui
  • remettent en situation les discours de dénonciation des acteurs. Par leur travail critique, ceux-ci construisent sur différentes scènes, des « fléaux », des problèmes sociaux et des « causes » politiques relatives aux manières de s’enrichir et de réussir
  • Afrique
  • De nouvelles articulations entre les politiques publiques et les pratiques sportives auto-organisées : l'exemple des sept communes de Yaoundé (Cameroun)
  • Afrique centrale
  • Afrique
  • De nombreux travaux sociologiques ont analysé les processus de développement des pratiques auto-organisées. En France, ils ont notamment montré le rôle structurant des acteurs publics qui ont accompagné, en particulier par leurs politiques
  • d’équipement et d’aménagement d’espaces sportifs, la naissance puis le développement de ces activités sportives peu institutionnalisées. L’analyse comparée des sept communes de Yaoundé (capitale du Cameroun) montre que cette articulation entre les politiques
  • sportives et les pratiques auto-organisées pourrait se construire autrement dans les pays en voie de développement. Le cadre théorique, structuré autour des concepts « d’action publique » et « d’innovation sociale », a centré l’analyse sur deux hypothèses
  • . La première envisage la faible influence des politiques publiques sur les espaces urbains dédiés à la pratique sportive de proximité. La deuxième renvoie à la capacité des pratiquants auto-organisés à inventer des modalités originales d’accès aux
  • espaces sportifs. Au plan empirique, trois techniques de recueil de matériaux ont été combinées : l’analyse documentaire pour appréhender la place des espaces sportifs à Yaoundé, l’observation non participante (un « circuit urbain » a produit un
  • recensement inédit des lieux de pratiques) et les entretiens semi-directifs pour analyser les mécanismes d’appropriation des espaces sportifs. L’analyse des matériaux empiriques montre que l’espace sportif de Yaoundé est davantage structuré par une
  • Afrique
  • Une ethnographie de la folie à Yaoundé : la rue, le politique et la clinique
  • Afrique centrale
  • Afrique
  • Ce travail propose une ethnographie de la folie à Yaoundé dont la perspective est celle d'une sociologie phénoménologique. Plus simplement, il décrit les médiations, les modalités et l'opérativité de la réalité sociale qu'est la folie; il essaye de
  • débusquer et de rendre compte de « l'intelligibilité pratique» des actes et des discours produits par les acteurs, à différents niveaux, au sujet de ce phénomène. L'entrée se fait à partir d'une articulation de trois principaux points, tous intimement liés à
  • savoir: la «rue », la clinique et le politique. Ils suggèrent non seulement les scènes, notamment dans l'espace public, où se manifeste le phénomène de la folie par exemple par des pratiques de dénudation, d'exposition corporelle sur des modes obscènes et
  • dégradants, de copulation publique et de viols (notamment en lien avec les économies occultes. . . ), mais aussi les discours qui se saisissent de ce dernier et exemplifient les différents modes de connaissance des « membres », dans une large configuration
  • qui intègre à la fois cette catégorie qu'on désigne, pour des besoins de commodité, « l'homme de la rue », et les acteurs politiques institutionnels. Sont également décrites et analysées quelques-unes des formes de prises en charge de la folie. De même
  • mise, recours aux ethnomédecines et à toutes sortes de thérapies religieuses face à un Etat dont le mode de saisie des problèmes de santé mentale repose en très grande partie sur des politiques d'inimitié et d'indifférence. . .
  • Afrique
  • Afrique centrale
  • Afrique
  • L'objet de ma thèse est la production de vidéos à but commercial qui s’est développée à Douala, au Cameroun, suite à la libéralisation du secteur audiovisuel (en 2000) et à la diffusion de la technologie numérique, low cost et facile à utiliser
  • , dans les couches urbaines moyennes et basses. Les vidéos sont analysées en tant que formes artistiques qui articulent l'expérience sociale et constituent des plateformes symboliques pour penser et déclencher le changement, en réfléchissant de façon
  • critique sur le monde. Elles ne sont pas seulement conçues dans leur dimension textuelle, mais également du point de vue de l’expérience, en prenant en examen les processus qui conduisent à leur production. Sur l’arrière-plan des mutations radicales qui ont
  • caractérisé le mediascape africain ces dernières décennies, je reconstruis les transformations de la production vidéo de Douala depuis les années deux mille jusqu’à nos jours, pour conclure avec une analyse des pratiques de réception, à travers lesquelles les
  • histoires se greffent nouvellement sur le flux de la vie, fournissant du matériel pour de nouvelles créations. Parallèlement, j’explore la production vidéo en tant que pratique urbaine qui fournit à l’espace de la ville des sensations et des sens. Je retrace
  • l'origine sociale des trames et des personnages des vidéos, tout en reconstruisant l'organisation locale du travail dans le domaine de la production audiovisuelle, pour identifier les relations multiples qui interagissent entre fiction et réalité, entre les
  • Afrique
  • Croyances magico-religieuses, imaginaire collectif et commerce : itinéraires de petits commerçants à Yaoundé (Cameroun)
  • Afrique centrale
  • Afrique
  • Chez les petits commerçants beti et fang rencontrés à Yaoundé, le succès de leur activité est une condition sine qua non de leur accomplissement personnel. Cet accomplissement, manifesté par la reconnaissance du statut prééminent de mfan mot, est
  • considéré comme une condition et une manifestation du mvoe (forme absolue du bien-être qui constitue l’horizon ultime des existences). Cette tranquillité matérielle et sociale est inatteignable sans un rapport favorable au monde invisible. Dans les
  • imaginaires, l’univers est en effet organisé suivant une double dualité : séparation en un monde visible (au sein duquel évolue l’ensemble des êtres vivants) et l’Invisible (accessible uniquement aux êtres dotés de pouvoirs supra-humains) ; répartition des
  • êtres vivants et spirituels en forces du bien ou du mal selon leur propension à favoriser le mvoe ou à lui nuire. Pour se prémunir des actions destructrices des sorciers et des autres « suppôts de Satan », le commerçant devra donc obtenir le soutien
  • d’alliés puissants recrutés dans la « sphère divine », notamment au sein des Églises dites « du Réveil ». L’Invisible est source de dangers mais aussi d’opportunités, spécialement pour les cadets sociaux. Des alliances heureuses avec l’Invisible sont
  • supposées assurer le bien-être et la réussite dans le monde visible. Elles constituent ce que nous avons nommé le capital « magico-religieux », soit la capacité individuelle à mobiliser des agents aux pouvoirs suprahumains afin qu’ils agissent utilement sur
  • Afrique
  • Des métiers urbains au Cameroun : une analyse sociohistorique en termes de rapports sociaux
  • Afrique centrale
  • Afrique
  • Cette thèse est construite en trois parties. La première est tout d’abord consacrée à une analyse réflexive de l’engagement ethnographique qui prend la rue comme terrain, et aux diverses formes de relation et de visibilité auquel conduit ce choix
  • . Le cadre théorique et méthodologique affirme en particulier des positions méthodologiques et théoriques à l’égard de l’informalité. On y trouve également une acception élargie de la production, qui inclut les métiers urbains de service, ainsi que la
  • nécessité d’étudier ensemble production et reproduction pour lire l’agencement des rapports sociaux. La seconde partie s’emploie à la reconstruction de la genèse de la division sociale du travail au Cameroun, dans un contexte colonial de « mise en valeur
  • » et dans celui, postérieur à l’indépendance, des étapes de mutations économiques ayant affecté les logiques et formes de mise au travail des hommes et des femmes et produit une forme spécifique de séparation entre production et reproduction. En quatre
  • périodes historiques, on y lit ainsi une généalogie des formes d’emplois urbains et des rapports sociaux qui les structurent, et tout particulièrement les rapports de sexe, de classe et de génération, inscrite dans le cadre du capitalisme global. Dans la
  • troisième partie l’analyse du matériau empirique récolté pendant le travail de terrain et au-delà permet d’analyser les inégalités sociales à Yaoundé, de décrire des modes de vie et leurs difficultés matérielles et d’éclairer les stratégies pour faire face à
  • Afrique
  • « Le grand chef doit être comme le grand tas d’ordures » : gestion des déchets et relations de pouvoir dans les villes de Garoua et Maroua (Cameroun)
  • Afrique centrale
  • Afrique
  • Dans les villes moyennes de Garoua et Maroua, au Nord et à l’Extrême Nord du Cameroun, on dit des «chefs», soit des détenteurs de l’autorité à l’échelle d’une famille, d’un quartier, de la cité ou autrefois d’un royaume, qu’ils doivent être «comme
  • des grands tas d’ordures». Ce proverbe situe ainsi les relations de pouvoir et l’exercice de l’autorité dans un rapport particulier avec la gestion des déchets : le chef doit se montrer patient et hiératique comme un grand dépotoir, lorsqu’il reçoit
  • toutes les insultes et les plaintes de ses sujets comme autant d’immondices ; mais, selon un registre ésotérique développé par les religions locales puis repris dans le cadre musulman, on attend aussi qu’il fasse preuve de la même puissance, magique
  • notamment, que celle dégagée par une grande et ancienne accumulation de déchets. Les conceptions locales des excrétions corporelles, des objets déchus et des restes des activités du quotidien font en effet du contrôle et de la manipulation des déchets un
  • élément majeur d’une «gouvernementalité» (Foucault) particulière. Celle-ci s’opère via des « techniques du corps » et des « techniques de soi » spécifiques autour du détachement entre soi, ses déchets corporels et ses possessions matérielles. L’analyse
  • généalogique des discours et des pratiques de gestion individuelles et institutionnelles des déchets depuis la fondation des deux villes au XVIIIe siècle jusqu’au début du XXIe siècle, marqué par la privatisation de ce service public, permet alors de saisir
  • Afrique
  • Expériences et normes liées à la procréation au Cameroun : Une ethnographie locale à partir de l’exemple du recours à l’avortement à Eséka et à Maroua
  • Afrique centrale
  • Afrique
  • Notre thèse porte sur le recours à l’avortement au Cameroun dans deux villes, Eséka et Maroua. Nous avons pour ambition de comprendre les sollicitations liées au recours à l’avortement en milieu urbain dans un contexte où existent des dispositions
  • médicales et légales particulières. Une étude empirique a été réalisée dans les deux localités. De ce travail de terrain, nous avons observé qu’il existe pour les femmes au niveau médical, la possibilité d’une prise en charge des soins après un avortement
  • , quelles que soient les conditions de sa réalisation. Au niveau légal, la décision d’avorter en dehors des conditions légales définies reste problématique pour les femmes et pour ceux qui recourent à l’avortement en dehors de ce cadre-là. Nous affirmons que
  • sujet associe à la fois la théorie sociologique de l'expérience, la démarche ethnographique du contexte (global et local) et l'étude des cas liés au recours à l'avortement. Partant de cette perspective, nous analysons le recours à l’avortement à partir
  • des expériences et vécus individuels des femmes en matière de procréation et de la grossesse d’une part, ainsi qu’à partir des difficultés liées aux normes imposées par les institutions sociales comme la famille ou l’État d’autre part. Il s’agit
  • surtout de montrer par cet exemple local, les difficultés de mise en œuvre des recommandations formulées à l’échelle internationale au niveau local dans le cas particulier de l’avortement.
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  • Douala - Cameroun - Afrique centrale - Afrique - Jeunesse - Travail - Insertion sociale et professionnelle - Capital humain
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  • Yaounde - Cameroun - Afrique Centrale - Afrique - Urbanisation - Identite Collective - Integration Sociale - Flux Migratoires - Quartier Ethnique
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  • Yaounde - Cameroun - Afrique Centrale - Afrique - Cartographie - Geographie Urbaine - Teledetection - Amenagement - Observatoire Urbain
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