de ces écritures, leur survivance, ainsi que les formes de vie que ces écritures engagent. Ephémères et situées, ces écritures exposées mettent en tension et questionnenet "le partage du sensible" (Rancière) contemporain. Cela appelle à considérer les
ethnographiquement le possible dissensus opéré par ces écritures, et de comprendre comment s'élabore la forme qui convient pour donner force à ces actes d'écriture et à ces objets écrits. En somme, ces pages esquissent une anthropologie de l'écriture, en regardant ce
Souvent négligées dans les pratiques urbanistiques, la thèse explore les formes de représentations des aspects sensibles de l'habiter mobilisables dans un processus de conception urbaine. À travers deux enquêtes de terrain nous montrons comment les
publics à travers la modification des usages et des significations que ces lieux ont pour les habitants. Nous traitons également l'espace public comme le lieu du débat politique, de la rencontre et du conflit dans la forme d'une pratique démocratique. Cet
sociaux permet aux jeunes militants de construire de nouvelles normativités et de nouvelles formes de résistance, intégrées ensuite par d'autres acteurs populaires.
l’art et de la culture ainsi que les formes d’administration à mi-chemin entre l’institutionnel et le citoyen sont analysés. La thèse soutient que les infrastructures désaffectées ne sont pas neutres : ancrées dans l’espace urbain, elles constituent le