avec des variations altitudinales et entre la montagne et le piémont. La forte croissance démographique et le faible niveau économique peuvent en favoriser l'aggravation des risques. - (OC)
Dans les montagnes tropicales les sols sont fragilisés par la violence des pluies, le ruissellement consécutif aggravé par les fortes pentes et des techniques culturales souvent inappropriées. Une agriculture toujours plus productive nuit ou ne
permet pas l'application des techniques de préservation et de conservation, parfois traditionnelles, entraînant une forte érosion, la dilapidation du capital pédologique et gênant un développement durable. - (OC)
La région de Ngaoundéré (1100 m) présente des formes récentes de dégradation du couvert végétal et des sols (érosion, accumulations alluvio-colluviales, inondations) du fait d'une très forte occupation humaine : invasion des bas fonds marécageux par
l'agriculture et l'élevage, occupation des pentes fortes et des zones inconstructibles par la population urbaine. Quelques moyens de lutte sont développés par des citadins : plantations de Musa balbissiana et aménagement des ravines en canaux d'évacuation des
L'afflux de curieux lors des coulées de lave de mars 1998 (Piton de la Fournaise) en raison de leur forte attractivité a posé le problème des gestions des flux de trafic (voitures et touristes) et de gestion globale de cette zone de montagne. Des
Plusieurs hivers neigeux ont provoqué des crises agricoles (abandon de champs), dans l'élevage du yak (mort d'animaux, pâturages inaccessibles) et commerciale (diminution des relations entre le Tibet et le bas pays népalais), de fortes crues