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Par Collection Par Auteur Par Date Par Sujet Par Titre Par ville ? Par pays ? Par continent ?
  • Sfax - Tunisie - Afrique du Nord - Afrique - Fortifications - Medinas - Habitations - Maisons fortes - Architecture
  • Pointe-Noire - Libreville - Brazzaville - Bangui - Fort-Lamy (N Djamena) - Gabon - Congo - Republique Centrafricaine - Tchad - Afrique de l Ouest - Afrique - Electrification - Mode de vie - Barrages - Developpement economique
  • Pointe-Noire ; Libreville ; Brazzaville ; Bangui ; Fort-Lamy (N Djamena)
  • Fermetures et porosités dans les territoires urbains à Fort-de-France (Martinique) et Port of Spain (Trinidad et Tobago)
  • Fort-de-France
  • longtemps similaires : Fort-de-France, dans le département de la Martinique, et Port of Spain, capitale de la République de Trinidad et Tobago. Les fermetures délimitent et séparent, mais elles se définissent aussi par leur degré de porosité et par les mises
  • qui sont envisagées par les pouvoirs publics, à Fort-de-France, comme une menace pour la cohésion urbaine. Cette analyse n’est pas partagée à Port of Spain où l’échelle nationale prime sur l’échelle de la ville dans les logiques gestionnaires. La thèse
  • Fort-de-France ; Port of Spain
  • Bilan spatial et structurel de l antagonisme pression anthropique/dynamique forestiere naturelle en zone de forte croissance urbaine. Le cas de Pointe Noire et sa region (Rep. du Congo).
  • Entre 1867 et 1907, la ville du Caire est animée par de très fortes mutations. Elle devient la capitale de l'Égypte tandis que sa surface urbanisée et sa population doublent. Cette période est constituée de deux temps. D'abord, le khédive Ismail
  • , fasciné par les récentes transformations de Paris, s'attache à renouveler l'espace urbain cairote. Malgré les fortes réticences des investisseurs privés, ses services parviennent à mettre en place des nouveaux quartiers dont l'étendue dépasse le quart de
  • publique qui s'en suit. A partir de cette date, l'Etat se désengage très fortement des travaux d'édilité. Il limite ses activités à la mise en place d'une législation que ses services, faute de moyens financiers, s'avèrent incapables de faire respecter. Le
  • processus d'urbanisation, alors très ralenti, reprend vers 1890. A partir de cette date, la ville connait une forte croissance qui est brusquement stoppée par une crise des valeurs boursières au début de l'année 1907. Pour ces deux périodes, je me suis
  • personnelles. Cette recherche tend à démontrer que la forme de la ville est fortement liée aux logiques du monde de la vie, à l’être-du-monde, au temps résidentiel vécu construit aux rythmes de la forme de la vie. Elle est aussi fortement subordonnée à l’idée
  • L’approvisionnement alimentaire du Gabon et de Libreville, sa capitale, est très fortement dépendant des circuits d’approvisionnement étrangers. En effet, 80 % des besoins alimentaires des populations du pays situé sur l’équateur, à l’ouest de
  • , maraîchères et fruitières. Cet état des lieux révèle une forte dépendance alimentaire de la capitale Libreville à l’égard du Cameroun (banane plantain, taro, oignon, atanga ou safou et avocat), des Pays Bas (oignon) et des pays asiatiques (riz). Il met aussi
  • archéologique de grande valeur, un ancrage historique et symbolique fort, un dynamisme économique, etc. Dans le même temps, l’analyse révèle les manques criants de la ville, mais aussi de toute sa zone urbaine, en termes de services, d’infrastructures, d’espaces
  • Abidjan, capitale économique de la Côte d’Ivoire, connaît une forte pression démographique. Elle abrite aujourd’hui environ 4,5 millions d’habitants, soit 20% de la population nationale et 50% de la population urbaine. Cette situation induit une
  • explique le fait que les cinémas ivoirien, latino-américain, nigérian et ghanéen soient les plus préférés. D’autres cinémas (à l’exemple du cinéma américain) sont également bien reçus. Fort de tout ce qui précède, nous pouvons affirmer que le Gabon est
  • Dans un contexte fortement ségrégué, l’étude des pratiques résidentielles et des mobilités quotidiennes laisse transparaitre des inégalités importantes entre individus et permet d’appréhender les différentes contraintes auxquelles se confrontent les
  • statistiques et géostatistiques, bivariées et multivariées, a permis de souligner que le risque d’infection des populations dépendait fortement d’une distance, que l’on a qualifié de sociale.
  • tête la quatrième ville du pays et un territoire à fort potentiel économique où les potentialités d’un réel développement local restent considérables.
  • les normes procréatives auxquelles les femmes sont confrontées au quotidien, surtout celles relatives à la grossesse en particulier, peuvent les amener à recourir à l’avortement, bien que cela soit fortement et légalement réglementé. L’approche du
  • approfondis avec les habitants de ces quartiers. Il est avancé dans ce travail que ces derniers cherchent à s’insérer socio-spatialement en s’inscrivant dans la proximité afin de faire face à une exigence toujours plus forte de mobilité. A cette fin, il est
  • choisi ce site car il est considéré comme exemplaire tant par sa forte production aurifère (avec plus 20 millions de minerais en 2012, depuis sa mise en service elle a injecté 400 milliards Franc CFA dans l’économie nationale) que pour les projets de
  • La dégradation de la mangrove de la Casamance a fortement été influencée par des contraintes physiques. Mais c’est l’étalement des villes du fait de la croissance démographique, les importants prélèvements de ses ressources par les populations et la
  • les contraintes auxquelles les populations rurales sont confrontées. La forte croissance démographique constatée dans les villes aussi bien que dans les communes périphériques, est source de profondes mutations foncières et d’enjeux importants. Ces
  • voire de l’étranger. Cet afflux d’habitants urbanisés a profondément changé la configuration du site et l’a surtout fortement ségrégué. Les bureaux de la société d’exploitation au pied du barrage, le vieux village de Manantali, les cités des ouvriers et