Si l’Inde est un pays majoritairement rural, sa population urbaine est plus grande que la population totale des États-Unis. Ainsi, à la fin du 20ème siècle, le phénomène urbain indien est déjà bien développé, d’autant plus qu’il possède une histoire
plus, le matériel découvert non seulement à l’époque ottomane impériale, mais aussi lors du mandat français notamment lors des fouilles de l’Université de Princeton a été dispersé entre la Turquie, la France, les États-Unis, la Syrie et le Liban
dans la redistribution immobilière au sein de la famille et du couple à l'occasion d'événements liés au logement et d'événements familiaux. Nous examinons la question de la régulation par l'État des conflits familiaux ainsi que la restructuration des
relations familiales face aux structures de genre, de classe et dans le cadre institutionnel du rapport entre État, marché et famille. Nous constatons que l'État produit et institutionnalise les politiques de logement, et joue par-là un rôle central dans la
genèse et la régulation des conflits familiaux, notamment lors d'événements du logement sous l'impact des politiques de logement d'État. Nous revenons sur le fait que l'État, le marché et la famille sont tous impliqués aussi bien dans les pratiques des
individus et des familles relatives au logement que dans les politiques du logement et les régulations de l'État. Nous montrons ainsi leurs effets sur les rapports patrimoniaux et les liens familiaux, ainsi que sur la production des inégalités d'accès au
de ses services urbains et de sa qualité de vie. Pourtant, malgré l’état de crise sécuritaire latent et bien au-delà de la crise économique mondiale, d’innombrables chantiers continuent de s’y développer. De par leur vulnérabilité aux dynamiques en
bâti, du pacte social qui régit les relations de ses habitants ainsi que de la structuration de sa morphologie urbaine. Le rapport de force prévalant entre les secteurs privé et public, ainsi que le rôle et l’autorité de l’État face aux différentes
S'appuyant sur des expériences de recherche et des théories issues de la sociologie urbaine occidentale, états-unienne et chinoise, la thèse contribue à la compréhension des mutations de la société urbaine chinoise à travers l'observation de la
« Trois Chine », où le niveau de développement gagne le territoire graduellement depuis les régions littorales vers les régions intérieures. Face au défi de la recomposition territoriale, l'État chinois et les acteurs de l'aménagement du territoire
citadins, permettant l’expression et le débat publics. Cette approche du politique mit en lumière la permanence de pratiques de pouvoir autoritaires, construites sous le régime de l’Etat-Parti.
(encadrées par l'État central, décentralisées aux échelons locaux, en lien avec des acteurs privés) d'une part, et des mutations des perceptions des citadins de la classe moyenne, bénéficiant de temps libre, de moyens économiques et matériels d'autre part
d’échange et d’accommodement avec les fonctionnaires officiels et les citadins chinois. Elle révèle également la difficile posture et la faiblesse de l’Etat central avant et après la Révolution de 1911, ainsi que la complexité des rapports entre autorités