Les réprésentations spatiales de l'insécurité, la délinquance et la peur dans l'espace urbain de Bogotá : formes symboliques d'appropriation et de qualité de vie de la ville
d’autres formes diverses, dissidentes, et souvent marginalisées de participation. Dans ce cas, le carnaval et les festivités de Salvador et de Carthagène ne sont pas seulement des espaces de rencontre culturelle à travers les symboles, la danse et la
musique, mais aussi des espaces politiques dans lesquels les identités, et les relations de classes et « raciales » sont contestées et reconfigurées. De plus, ces célébrations créent une opportunité pour des groupes différents de déployer de vives
espaces extérieurs. Nous avons étudié ce phénomène à travers un cas concret, la ville de Barranquilla, qui répond non seulement à la condition tropicale, mais qui exprime la réalité et les conflits de l'Amérique Latine et de la Colombie. A travers notre
exister entre les conditions de confort dans les espaces extérieurs et les conditions socio-économiques de la population dans les villes, qui comme Barranquilla, sont marquées par la ségrégation sociale et la fragmentation spatiale. Enfin, nous avons
surveillance qui modèlent un type de sociabilité qui peut être appelé securonormativité. La recherche montre que les actions de la sécurisation imprègne les formes quotidiennes d’appropriation de la ville, les conceptions de l'espace, les conflits territoriaux