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  • La santé urbaine au risque de l'eau à Addis-Abeba (Éthiopie) : entre dangers sanitaires, menaces perçues, pratiques et vulnérabilités socio-environnementales
  • Eau
  • Gestion de l'eau
  • Addis-Abeba bénéficie d'un taux de raccordement au réseau d'adduction d'eau potable exceptionnel. Mais l'étude du vécu des usagers permet d'évaluer la réalité de l'accès à l'eau potable. Les stratégies de ravitaillement sont soumises à l'inconstance
  • de l'offre et aboutissent souvent à une dégradation de l'eau collectée avant son ingestion expliquant nombre de maladies hydriques. La capitale éthiopienne se caractérise par la prépondérance de l'assainissement individuel et par le détournement de
  • fonction du réseau séparatif pluvial. Par conséquent, les cours d'eau urbains, espaces marginalisés, font office de réseau d'égouts pour les eaux usées domestiques et industrielles. La situation d'assainissement s'avère être le facteur principal du danger
  • sanitaire lié à l'eau, d'où l'importance du péril fécal dans le profil sanitaire de la population. L'approche du risque dans le cadre d'une étude sur l'eau et la santé en ville permet d'esquisser une représentation environnementale d'Addis-Abeba, Une étude
  • multisectorielle d'amont en aval, au sein du cycle de l'eau, révèle des dysfonctionnements urbains, un décalage entre le danger sanitaire objectif et les différentes représentations du risque, ainsi que les éléments les plus vulnérables comme le réseau d'adduction
  • d'eau potable. Enfin, la politique urbaine n'a pas le monopole de la gestion du risque. A l'inverse, les habitants n'ont pas pour seul statut celui de pollueurs ou de victimes potentielles d'un danger avéré, mais s'approprient aussi le risque sanitaire
  • Gestion de l'eau en situation de pénurie : le cas de la ville de Tamanrasset (Sahara central)
  • Approvisionnement en eau
  • Gestion de l'eau
  • Transfert d'eau
  • La ville de Tamanrasset comme une ville récente du Sahara central, a été confrontée au long de son histoire à un problème d’approvisionnement en eau potable. Cette situation qui endure la population de la ville a dû d’une croissance démographique
  • rapide (sédentarisation, immigration), une urbanisation anarchique et à des ressources en eau très limites. Avec, la persistance de la pénurie, les difficultés d’accès à l’eau potable, et une gestion étatique inefficace, les habitants ont toujours fait
  • recours aux services des revendeurs d’eau par les camions-citernes, et ont développé des dispositifs de stockage plus au moins sophistiqués pour assurer une consommation régulière à l’intérieur de l’habitation, tout en étant indépendant du programme de
  • rotation du distribution élaboré par l’A.D.E. Pour résoudre le problème de la pénurie d’eau; il a fallu attendre l’intervention de l’état algérien par la réalisation d’un grand projet d’adduction en transférant des eaux fossiles (albienne) du bas Sahara
  • interactions entre le rationnement, imposé par les services de l’eau de la ville en conséquence du manque d’eau et d’une politique de gestion inadéquate avec les spécificités locales, et les solutions envisagées par les usagers et l’état.
  • Changements institutionnels, stratégies d'approvisionnement et de gouvernance de l'eau sur les hautes terres de l'Ouest Cameroun : exemples des petites villes de Kumbo, Bafou et Bali
  • Gouvernance de l'eau
  • Eau potable
  • L’objectif de cette étude consistait à explorer la contradiction naissante entre d’une part, la politique de l’eau menée au Cameroun depuis l’indépendance et d’autre part, les réalités urbaines de contrôle et d’usage informels de l’eau. Les concepts
  • de « gouvernance » et de « communauté » ont été utilisés pour analyser comment les populations affirmaient, de façon individuelle ou collective, leurs droits sur l’eau et comment de telles revendications étaient légitimées. Les concepts de
  • « négociabilité » et de « flexibilité » ont permis de comprendre comment les droits d’utilisation et d’accès à l’eau étaient négociés et contestés en fonction de conditions changeantes. Le concept de « société civile » a été employé pour refléter le caractère
  • régissent l’accès à l’eau potable dans les communautés. Les leaders traditionnels, les représentants élus et les comités de gestion des points d’eau potable tendent à se compléter dans le développement et l’application des arrangements institutionnels
  • . L’étude conclut que l’informalité des institutions et des droits de propriété dans la gouvernance de l’eau des petites villes semblent entretenir des situations socio-économiques complexes. Il s’agit là d’un point commun entre les trois sites étudiés. En
  • définitive, la multiplication des acteurs de l’eau a débouché sur une sorte de chevauchement des compétences de contrôle et de gestion tant dans l’espace que dans le temps.
  • Eau/Afrique
  • Eau
  • Enjeux d’échelles, enjeux politiques : l’approvisionnement et l’accès à l’eau dans les quartiers périphériques du grand Khartoum (Soudan)
  • Gestion de l'eau
  • Approvisionnement en eau
  • Cette thèse analyse les évolutions liées à l’introduction des réformes néolibérales dans le secteur de l’eau à partir des histoires urbaines de trois quartiers périphériques de l’agglomération du Grand Khartoum. Articulé autour de la transition
  • depuis des systèmes d’approvisionnement et d’accès à l’eau locaux vers les réseaux d’adduction d’eau centraux et publics, ce travail privilégie une approche scalaire et temporelle qui met en évidence la recomposition des relations de pouvoir liées aux
  • infrastructures et au contrôle de la ressource. Cette approche met en évidence les négociations multiples qui se jouent autour de l’eau. Dans un premier temps, l’analyse d’une politique scalaire descendante de l’acteur gouvernemental, la Khartoum State Water
  • Corporation (KSWC) contribue à la mise en place d’organisations locales de l’approvisionnement en eau par une association ou les comités populaires. Cette politique s’appuie et renforce les catégorisations de l’espace et de service discriminantes dans lesquels
  • s’intègrent d’autres acteurs de l’approvisionnement et de l’accès à l’eau (ONG, gestionnaires locaux, population). Dans un second temps, l’intensification des réformes néolibérales entraîne la restructuration du service au niveau de l’agglomération
  • . L’extension des réseaux et de l’administration public-es par la KSWC qui participe à la redistribution des responsabilités techniques et du pouvoir liés à la ressource en eau. Cette politique n’implique pas une désagrégation de l’autorité centrale mais une
  • Processus d'urbanisation et accès à l'eau
  • Eau, Environnement.
  • Qualité des eaux
  • Croissance urbaine, un défi pour l’accès à l’eau potable et à l’assainissement à Bangui (République Centrafricaine)
  • Eau potable
  • textes ou des lois qui caractérisent le régime foncier, ont conduit à la création des bidonvilles. Les services de l’eau et de l’assainissement sont en difficulté face à l’explosion urbaine de la ville. L’accès à l’eau potable et à l’assainissement de
  • base de la population n’est pas totalement assuré par ces services. Il se pose alors, un sérieux problème de gouvernance de ces services face à la croissance urbaine de la ville. Le réseau de la société de distribution d’eau ne couvre pas l’ensemble de
  • la ville, et le système d’assainissement est très détérioré. La société de distribution d’eau en Centrafrique (SODECA), n’assure que 32% de l’approvisionnement en eau de la population. Les quartiers défavorisés sont alimentés par des réseaux informels
  • (bornes fontaines, les forages et les puits). Malgré une légère amélioration, l’approvisionnement en eau potable dans ces quartiers, reste un parcours du combattant. Les femmes et les enfants sont les plus touchés. L’espoir de partenariat public-privé (PPP
  • ) suscité en 1990, autour de l’eau par SAUR a donné un bilan mitigé en Centrafrique.
  • Ethnographies de la gestion de l'eau à Tuti (Khartoum, Soudan) et Cano de Loro (Carthagène, Colombie) : histoire, localité et politique dans une perspective d'anthropologie urbaine comparée
  • Gestion de l'eau
  • Au début du XXe siècle, un modèle centralisé est adopté pour l’approvisionnement en eau dans de nombreuses villes, dont Carthagène (Colombie) et Khartoum (Soudan). Ainsi, le réseau hydrique devient une technologie politique et un marqueur de la
  • spatialité et des modes de vie urbains pour différents acteurs (administrateurs, techniciens et citadins). L’analyse comparée des stratégies d’accès, des usages quotidiens et de l’imaginaire lié à l’eau de deux populations urbaines et insulaires – Caño de
  • certains rapports de pouvoir et sur une transformation dans la conception de la nature. Ce caractère relationnel et politique du réseau ouvre la voie, dans une deuxième partie, à l’analyse de la matérialité de l’eau et ses échanges comme producteurs de
  • « localités » particulières au sein de l’espace urbain. L’analyse des relations entre sphères publiques et privées par le biais de la distribution de l’eau amène à discuter la pertinence de la notion de « gestion collective » des ressources en ville. La
  • troisième partie aborde les mécanismes mobilisés par différents acteurs dans les projets de planification urbaine pour négocier leur marge d’action sur l’eau et la terre. Elle met en lumière la dimension politique des catégories d’appartenance et le pouvoir
  • Cycle urbain de l'eau
  • Cycle de l'eau
  • Interface Nature Sociétés et usages de l'eau
  • Gestion ressource eau
  • gestion des eaux urbaines
  • Gestion et usage de l'eau
  • Ressources naturelles (eau...)
  • de la politique. Deuxièmement, ce réseau « mou » peut atteindre des objectifs de service public au même titre que les réseaux « durs » traditionnels (eau, assainissement, etc.) dans le cadre. Troisièmement, que y compris dans un régime autoritaire, ce