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  • Transports solides et dissous du fleuve Congo (bilan de six années d'observations)
  • Les observations effectuées de 1987 à 1992 sur les transports solides et dissous du Congo ont permis de les quantifier avec précision et de définir leurs natures. La concentration interannuelle moyenne de ces transports est faible par rapport à
  • celle des grands fleuves de la planète. On note la grande régularité des régimes d'exportations solides et liquides. Le fonctionnement de l'écosystème est très marqué par la forêt équatoriale, qui couvre plus de la moitié de ce bassin-versant.
  • Caractérisation chimique de la fraction organique des suspensions du fleuve Congo
  • Dans la perspective de l'étude d'un bilan de l'apport du Congo au milieu océanique, les paramètres généraux, matières en suspension et carbone organique particulaire, ont été déterminés à partir d'échantillons d'eau filtrée et centrifugée. On note
  • un comportement différent selon la crue et l'étiage. Les crues du Kasaï apportent un matériel de nature différente de celle des suspensions de l'Oubangui. L'analyse qualitative des particules de nature ligneuse permet de préciser et de reconnaître
  • , dans l'apport solide, la nature taxonomique de la végétation dominante du bassin-versant.
  • Bilans hydrologiques et géochimiques d'un écosystème forestier équatorial de l'Afrique centrale: la Ngoko à Moloundou (Cameroun)
  • Le bassin-versant de la Ngoko, da caractère strictement forestier, constitue le cours amont de la Sangha, un des principaux affluents de droite du Congo. Campagnes de mesures et de prélèvements durant 3 cycles hydrologiques (1989-1992). Suivi du
  • régime des précipitations. Bilan hydrologique. Le transport des matières minérales en suspension, constituées essentiellement de kaolinite, a augmenté, vraisemblablement en raison de l'augmentation des surfaces d'exploitation forestière.
  • Les effets hydrologiques du déboisement de la forêt amazonienne et d'utilisations alternatives du sol
  • Différentes expérimentations ont été réalisées (de 1977 à 1987) à diverses échelles pour caractériser et quantifier les effets d'un déboisement mécanisé de la forêt amazonienne et de différentes utilisations du sol correspondant à des scénarios de
  • développement, qui auraient été implantés après la coupe. 10 petits bassins-versants ont été sélectionnés. Mise en évidence des effets des traitements sur les régimes hydrologiques (apports, débits de crue) ainsi que sur l'érosion des sols.
  • Chimie du fleuve Tocantins et de rivières côtières de l'Est du Para (Brésil)
  • La chimie de certains éléments est principalement dominée par les apports atmosphériques: Cl, K, SO4. Les contributions atmosphériques sont importantes pour Na et Sr. La quantification de ces contributions permet de calculer des rapports
  • élémentaires caractéristiques des altérations pour divers cours d'eau. les bilans d'altération et d'exportation de matière par le Tocantins sont calculés en terme de flux. Données spécifiques déduites: érosion, altération, CO2 consommé par l'altération.
  • Variations saisonnières et flux de quelques éléments majeurs dans trois rivières de Guyane française
  • Les mesures systématiques pratiquées de juillet 1989 à juillet 1991 sur 3 rivières de Guyane (Comté, Lawa et Oyapock) ont permis de comparer les vatiations de contenus en matières en suspension et les variations de concentrations en calcium
  • , chlorures et silice dissoute selon l'hydraulicité et le facteur d'échelle (surface du bassin). Les 3 bassins-versants appartiennent au milieu tropical forestier humide.
  • Concentrations, fluctuations saisonnières et flux de carbone dans la bassin du Congo
  • variations saisonnières des concentrations et de celles des matières en suspension et des débits. Mise en évidence d'une forte relation entre les concentrations de carbone organique et le type de végétation.
  • Calcul des flux de carbone organique dissous et particulaire exportés pour l'année 1992 par 2 bassins-versants au couvert végétal différent, l'Oubangui (zone de savane) et la Ngoko (zone de forêt). L'origine du carbone est discutée en fonction des
  • Premiers résultats sur la distribution et le bilan des éléments majeurs dissous dans la cuvette lacustre du fleuve Niger (Mali) (année 1990-1991)
  • Bilan hydrologique ; Charge en solution ; Charge solide ; Cours d'eau ; Cuvette lacustre ; Dynamique fluviale ; Hydrochimie ; Inondation ; Mali ; Minéralisation ; Niger ; Qualité de l'eau
  • Cette étude s'intègre dans le programme EQUANIS visant à estimer les apports du Niger au delta central, à y modéliser le bilan hydrique et à mettre en place une surveillance de la qualité des eaux dans la cuvette lacustre. 11 stations d'observation
  • et de prélèvement ont été mises en place en juillet 90. Les eaux du Niger et du Bani sont peu minéralisées. On constate un assez bon équilibre entre les apports au delta et les sorties.
  • Flux liquides, dissous, et particulaires de deux grands bassins intertropicaux: le Congo à Brazzaville et le rio Madeira à Villabella
  • Les 2 grands fleuves tropicaux présentent des comportements hydrologiques très différents, dus principalement à la situation particulière du bassin du Congo de part et d'autre de l'équateur. Les variations saisonnières sont beaucoup plus marquées à
  • Villabella (1983-1989) qu'à Brazzaville (1987-1992). La variabilité temporelle est toujours plus forte sur le Madeira (débits, matières dissoutes ou particulaires).
  • seconde 6 articles sur les travaux réalisés sur le fleuve Niger, 8 sur les recherches en cours sur le milieu amazonien (Amazone, Madeira, Tocantins, Guyane) et 4 sur les approches coupées hydrologie, géochimie, géophysique des transferts hydriques.
  • 2 parties principales: la 1ère, exclusivement consacrée au bassin du Congo-Zaïre, avec 19 articles traitant de l'hydroclimatologie du bassin congolais, des flux de matière du fleuve Congo et de la contribution de ses principaux affluents; dans la
  • Fonctionnement hydrologique de la cuvette lacustre du Niger et essai de modélisation de l'inondation du delta intérieur
  • La cuvette lacustre du Niger constitue un hydrosystème particulier caractérisé par ses nombreux effluents, lacs et plaines d'inondation d'une part et des conditions climatiques sahéliennes et semi arides d'autre part. Les pertes en eau annuelles
  • , dues à l'évaporation, varient de 40 km3 à 6 km3 soit 47% des entrées en période humide et seulement 32% en période sèche, du fait de la réduction des zones inondées. Données 1925-1991.
  • les cours d'eau de son bassin-versant.
  • Mesure des taux isotopiques de strontium dans la charge en suspension et en solution sur des échantillons prélevés mensuellement dans l'Oubangui en République Centrafricaine, ainsi que sur des échantillon prélevés au moment des hautes eaux dans tous
  • Les apports détritiques terrigènes dans la cuvette lacustre du Niger etre Mopti et Kona (République du Mali)
  • Analyse sédimentologique d'alluvions prélevées dans le chenal de la cuvette entre Mopti et Kona, et dans le cours inférieur du Niger et du Bani. La fraction d'origine fluviatile est issue du démantèlement des grès horizontaux précambriens et des
  • formations granito-gneissiques et birrimiennes situés dans la partie supérieure du bassin du Niger et du Bani. La fraction d'origine éolienne provient de la déflation des grands ergs situés au nord de la cuvette d'où elle a été amenée par l'Harmattan.
  • L'étude faite sur l'année 1989 à Brazzaville montre que la concentration et les variations isotopiques dépendent du fonctionnement hydrologique et résultent d'un mélange de différents pools hydrologiques. L'exportation des éléments par le Congo est
  • sous-estimée à cause de la contribution des calcaires entre Brazzaville et l'embouchure du fleuve. Comparaison du transfert de Ca, Na, Mg et Sr à l'océan par le Congo et par les courts fleuves côtiers. Modélisation avec les 4 sources d'éléments