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Par Collection Par Auteur Par Date Par Sujet Par Titre Par ville ? Par pays ? Par continent ?
  • Surgissement, prolifération et intégration des motos-taxis dans les villes camerounaises : les exemples de Douala et Bafoussam
  • Accident de la route
  • Au cours des dernières décennies, la mobilité dans les villes camerounaises a été marquée par la croissance considérable du trafic des motos-taxis, qui constituent désormais le mode de déplacement dominant. La sédimentation actuelle des deux-roues
  • dans la circulation génère des nuisances, des problèmes et des coûts pour la collectivité et les usagers. La conséquence la plus directe provoquée par cette mutation de la mobilité est l’augmentation croissante des accidents. Les motos sont désormais au
  • favoriser le passage d’une cohabitation conflictuelle à une cohabitation pacifique entre les motos-taxis et les autres usagers de la route. Celle-ci nécessite une réponse urbanistique, pédagogique, sociologique et politique, elle implique une gouvernance et
  • coeur de violents conflits d’usage sur la voie publique. L’objectif de notre recherche est double, il s’agit d’abord d’améliorer la prise de conscience de l’importance des enjeux et des externalités et, ensuite, de proposer des pistes de réflexion pour
  • Recomposition des territoires politiques et gouvernance urbaine : le cas de la ville de Bamako (Mali)
  • Afrique de l'Ouest
  • La ville de Bamako produit-elle du changement politique ? C'est à cette question, en apparence classique que cette thèse entend répondre. A partir d'une enquête menée dans le contexte des échéances électorales de 2007, nous proposons d'aborder les
  • voies théoriques et méthodologiques d'une étude qui tente d'expliquer la faible participation électorale des bamakois. En prenant successivement en compte le territoire comme agrégat de données quantitatives (territoire objectif) puis comme construction
  • sociale opérée par les individus (territoire subjectif), nous proposons de revenir sur les apports d'une approche « sociogéographique », permettant de comprendre les raisons de la faible participation électorale des individus. La « politique » apparaît à
  • la fois comme le résultat d'un repérage des problèmes territoriaux et comme un série de thèmes définis (le vote aux élections, la mondialisation, etc) donnant à voir quelques aspects distincts de l'influence du territoire sur la politisation des
  • individus. Il conviendra dans cette thèse de mobiliser des entretiens directifs et semi-directifs afin de connaître le sentiment démocratique des bamakois.
  • Enjeux des mutations et des recompositions du foncier autour de Bamako (Mali)
  • Afrique de l'Ouest
  • Dans un contexte d’urbanisation galopante, l’étude des enjeux des mutations et des recompositions du foncier autour de Bamako (Mali) laisse transparaître des transformations importantes du foncier et permet d’appréhender les inégalités d’accès et
  • les contraintes auxquelles les populations rurales sont confrontées. La forte croissance démographique constatée dans les villes aussi bien que dans les communes périphériques, est source de profondes mutations foncières et d’enjeux importants. Ces
  • connaissance des mutations du foncier agricole et de leur rôle dans l’approvisionnement de la ville de Bamako. A travers les enquêtes basées sur l’observation sur le terrain, l’enquête par questionnaire et celle par entretien, la thèse se propose ainsi
  • d’analyser les enjeux fonciers, les acteurs du jeu foncier, le rôle du péri urbain dans l’approvisionnement de la ville, les conflits engendrés afin de mieux comprendre les mutations et les recompositions foncières dans les espaces péri urbains. Les résultats
  • de l’étude révèlent que la ville de Bamako qui connaît une urbanisation rapide entretient des relations réciproques et complémentaires avec les communes rurales péri-urbaines. Nous partons des usages du foncier agricole péri urbain dans quatre
  • collectivités territoriales de Baguinéda, Sanankoroba, Kambila et N’Gabacoro Droit, pour y étudier l’évolution du foncier périurbain, ses mutations, les stratégies et les pratiques des acteurs dans le processus d’accaparement foncier. Cette situation est l’une
  • Dynamique socio-spatiale de la ville de Bamako et environs
  • Afrique de l'Ouest
  • Les capitales Africaines font face à une croissance urbaine grandissante qui s’accompagne de multiples défis. Ces villes sont de plus en plus perçues par les ruraux comme la destination idéale pour échapper à la précarité du milieu rural. Cette
  • la capitale Malienne représente 55,3 % de la population urbaine du pays (INSTAT, 2009). Les villes secondaires du pays sont moins dynamiques et attirent de moins en moins les ruraux compte tenu de leurs niveaux de développement. La centralisation de
  • tous les grands équipements et sièges d’institutions importants du pays à Bamako fait qu’elle est la destination favorite des ruraux. L’urbanisation accrue de la ville se traduit spatialement par un étalement croissant. En vingt-huit ans, la tache
  • urbaine de la ville de Bamako a augmenté de 7290 ha. Elle est passée de 17 % et 1986 à 32 % en 2014. Durant cette période, il y a eu beaucoup d’aménagements dans le District de Bamako. Mais elle a été marquée davantage par le développement remarquable de
  • la rive droite qui accueille de nos jours la majorité de la population bamakoise. Le rythme soutenu de cette croissance a conduit à l’épuisement des réserves foncières de la ville. Depuis une dizaine d’années, les réserves foncières des communes
  • environnantes sont mobilisées pour résoudre les besoins fonciers de Bamako. À cela s’ajoute la réorientation des citadins en quête de propriété vers ces communes environnantes, agrandissant la pression foncière dans ces localités. L’épuisement de la réserve
  • De New York à Dakar : pour une approche critique et méthodologique de la justice environnementale
  • Afrique de l'Ouest
  • Le thème des inégalités et ses corollaires, telles la pauvreté, la précarité, l’exclusion ou encore la ségrégation, se posent de plus en plus d’un point de vue de la justice et concerne à la fois les enjeux spatiaux et environnementaux. Comme pour
  • marquer le paroxysme des inégalités, la question de la justice environnementale vient relancer le débat autour de l’accès aux ressources au sein des catégories sociales et spatiales, ainsi que le débat autour de l’inégale répartition et répercussion des
  • externalités, causées entre autres par l’usage de ces dernières d’un point de vue environnemental. De New York à Dakar, malgré les différences de contextes socio-culturels et économiques, les mêmes phénomènes d’inégalités face aux conditions environnementales
  • s’observent avec cependant des nuances dans les formes de manifestations et d’interprétations. Ce travail vise à réfléchir sur les déclinaisons que peuvent avoir les injustices environnementales dans la ville de Dakar à partir d’une approche élaborée dans les
  • villes américaines, berceau des mouvements de revendications. Deux localités situées dans la baie de Hann sont choisies en raison des pollutions industrielles dont elles souffrent. Il s’agit de Hann-Bel-Air et de Thiaroye-Sur-mer. Partant de l’analyse des
  • nuisances environnementales liées à la pollution industrielle, il s’agit de montrer l’importance de la « contextualisation » dans l’étude des injustices environnementales au regard des dynamiques socio-spatiales, mais aussi des perceptions face aux
  • "Vivre à l'ombre proche" du barrage de Manantali : les formes de représentations sociales des impacts dans les campements et les villages environnants
  • Afrique de l'Ouest
  • Sénégal (33%) et la Mauritanie (15%). Mais l’apparition de cet ouvrage constitue une perturbation profonde dans l’organisation et le fonctionnement des espaces riverains. Les territoires autour du Bafing, affluent où se localise le barrage, se trouvent
  • professionnels venus des régions du Centre du Mali, particulièrement de Mopti et de Ségou. Le lac devient ainsi une immense réserve de poissons avec des tailles plus importantes par rapport à ceux capturés dans les affluents du Bafing, du Bakoye, ou même du
  • fleuve Sénégal. En amont du barrage, la pêche devient la première activité économique poussant des jeunes agriculteurs et éleveurs «autochtones» à une reconversion professionnelle pas toujours aboutie. Les campements de pêcheurs occupent un ancien site
  • des villages déplacés lors de la construction du barrage. Trente-trois villages sont actuellement réinstallés en aval du barrage dans le finage d’autres hameaux préexistants. Cette cohabitation bouleverse l’occupation de l’espace et entraine des
  • voire de l’étranger. Cet afflux d’habitants urbanisés a profondément changé la configuration du site et l’a surtout fortement ségrégué. Les bureaux de la société d’exploitation au pied du barrage, le vieux village de Manantali, les cités des ouvriers et
  • celle des cadres sont autant de témoins d’un espace urbain en devenir, fonctionnel et très inégalitaire. Le principal objet de cette étude est l’étude des impacts du barrage de Manantali sur l’organisation socio-spatiale et physique des territoires
  • Entre le territoire de proximité et la mobilité quotidienne : les ancrages et le territoire de proximité comme support et ressource pour les pratiques de mobilité des habitants de la ville de Santiago du Chili
  • Face aux hypothèses de mobilité généralisée de la société et d’affaiblissement de la dimension territoriale, il est démontré dans cette recherche l’importance du territoire de proximité – la maison et le quartier – en tant que support, et lieu
  • personnel et stratégique permettant aux individus de surmonter les tensions qu’entraîne la modernité. Les individus sont, en effet, à la recherche d’un équilibre oscillant entre nomadisme et ancrage. Ainsi, il apparaît que la mobilité, bien loin de s’opposer
  • , trouve à s’articuler avec l’ancrage dans la proximité. En concentrant les apports de la Géographie et de l’Ethnographie, une recherche a pu être menée dans trois quartiers de la ville de Santiago du Chili (quartiers qui se différencient par leur
  • emplacement et par la composition socio-économique de leurs habitants). Cette recherche a été rendue possible grâce aux observations et aux visites réitérées et prolongées sur les différents terrains d’étude ainsi qu’à la réalisation de 51 entretiens
  • approfondis avec les habitants de ces quartiers. Il est avancé dans ce travail que ces derniers cherchent à s’insérer socio-spatialement en s’inscrivant dans la proximité afin de faire face à une exigence toujours plus forte de mobilité. A cette fin, il est
  • démontré comment la maison et le quartier deviennent un point d’ancrage substantiel des différents modes de vie. Cette recherche soutient que c’est l’ancrage dans le territoire de proximité qui rend possible l’exploration des différentes échelles de la
  • Universidad católica de Chile
  • Habitat et mode de vie de la vallée du Drā (Maroc) : le village d'Asrir n'llemchane
  • Mode de vie
  • Cette thèse traite de l'architecture d'un village du Sud présaharien au Maroc, avec l'objectif de comprendre les origines et le développement de l'architecture traditionnelle dans cette région dans son contexte culturel et historique. Le village
  • choisi ici comme exemple représentatif est le qsar d'Asrir n'Ilemchane dans la vallée du Drā. Cette agglomération est un exemple très spécifique de ces groupements fortifiés aux maisons mitoyennes à puits de lumière central. Au-delà de la dénomination
  • courante d' « architecture berbère », l'étude vise à comprendre l'énigme de son origine à travers une analyse détaillée et compréhensive de l'architecture villageoise. À cette fin nous essayons de distinguer les contributions respectives des groupes sociaux
  • qui l'habitent, principalement deux, les Draoua ou Haratines, habitants originels, agriculteurs-jardiniers de l'oasis, et les Berbères Ayt Ātta, semi-nomades transhumants de la montagne proche, le jbel Saghro, installés plus récemment, comme
  • maisons, une observation participative et des entretiens avec les habitants dont quelques « anciens ». Nous examinons le mode constructif de ces maisons en terre crue, adobes et pisé, savoir-faire spécifique des maçons haratines. Cet habitat est mis en
  • perspective avec le mode de vie et l'organisation sociale de la population, en lien avec l'agriculture de palmeraie et le système d'irrigation. L'analyse des maisons a permis de forger des hypothèses sur le développement du village et de son enceinte au cours
  • La protection sociale au Sénégal : l'exemple des ouvriers du bâtiment à Dakar
  • Afrique de l'Ouest
  • Cette thèse porte sur la protection sociale des professionnels du bâtiment au Sénégal et plus particulièrement sur l’analyse du risque santé et de sa prise en charge chez les ouvriers à Dakar. Elle tente d’apporter des réponses à des interrogations
  • portant sur les risques au travail, les besoins d’assurance santé et les stratégies de recours aux soins des travailleurs du bâtiment et de leurs familles. La recherche, à la fois qualitative et quantitative s’appuie sur une enquête auprès de 540 ouvriers
  • et sur une dizaine d’entretiens avec les acteurs de la protection sociale. Elle montre d’une part, que la couverture maladie dans le secteur du bâtiment est très faible (environ 5%) et la prise en charge assez limitée (soins primaires), et d’autre
  • part que le régime sénégalais de prévoyance santé à travers la Caisse de sécurité sociale, les Institutions de Prévoyance Maladie (IPM) et les mutuelles de santé, connaît de nombreux dysfonctionnements qui l’empêchent d’être efficace et viable. L’étude
  • révèle que globalement les ouvriers du bâtiment ne connaissent pas la sécurité sociale ; ils ont recours aux structures publiques de santé en cas de maladies ou d’accidents. Toutefois, ils sont conscients des risques dans leur métier et utilisent
  • largement des équipements de protection lorsque ceux-ci sont mis à leur disposition. Enfin, les ouvriers sont les principaux financiers de la santé dans le ménage. Cependant, à cause de la faiblesse de leurs revenus et du coût de la couverture santé, ils
  • Décentralisation et développement : la reconstruction du développement local : cas de la commune rurale de Guidimouni (Niger)
  • Afrique de l'Ouest
  • Peut-on parler de décentralisation sans faire le rapprochement avec les questions de développement ? Au Sud comme au Nord, les opinions s'accordent sur le choix des mesures de décentralisations, dans la mise en œuvre des stratégies participatives de
  • dans sa mise en œuvre sont susceptibles d'influer sur les objectifs de développement. L'exemple de la commune rurale de Guidimouni évoque une situation où la décentralisation piétine encore, du fait notamment du manque d'implication des acteurs locaux
  • , spatiales, etc.). L'articulation avec le contexte local dans lequel ils sont censés intervenir, révèle les limites des politiques publiques, particulièrement en milieu rural.
  • développement. S'inscrivant dans une réflexion sur la « bonne gouvernance », la décentralisation prône un nouveau type de développement, mettant en évidence la relation entre gouvernance et gestion des ressources locales d'une société. L'implication des entités
  • territoriales de base aux prises de décisions participe à la (re)construction du développement local. La décentralisation peut-elle servir la dynamique de développement au niveau local ? En dépit des espoirs suscités par la décentralisation, des insuffisances
  • , mais aussi de l'absence d'un espace public propice à l'harmonisation des initiatives de développement. Décentralisation et développement sont deux processus complexe, intégrant de multiples variables (économiques, sociales, politiques, culturelles
  • Brises thermiques et risque de pollution dans la région de Beyrouth
  • les phénomènes se produisant à plusieurs niveaux scalaires. Notre étude s'est appuyée sur des documents et données existant (dans le service de météorologie de l'aéroport de Beyrouth) et de notre propre base de données issues de nos propre campagnes de
  • mesures. Les bases théoriques de ces types de circulation et la diversité géographique de notre milieu d'étude étaient l'objet de la première partie. La deuxième partie présente la démarche adoptée pour prendre en compte la relation entre l'atmosphère, les
  • brises, la pollution et le milieu. Une troisième partie analyse les conditions favorables à l'apparition des brises aux échelles synoptique et régionale. Et une quatrième partie traite les variabilités spatio-temporelles des brises en relation avec la
  • topographie et l'occupation du sol et leurs incidences sur le transport et les concentrations des polluants aux échelles fines.
  • Située sur la rive Est de la mer méditerranéenne, la région de Beyrouth est soumise aux brises de mer et de terre en période estivale. En présence de ces circulations, la pollution atmosphérique devient complexe en raison des interrelations entre
  • La sécurisation de la cité : politiques publiques, actions collectives et pratiques individuelles dans une métropole latino-américaine : Bogota (Colombie)
  • Cette recherche analyse les actions des institutions publiques, des organisations sociales populaires et des citoyens ordinaires destinés à traiter les problèmes d'insécurité à Bogotá (Colombie), notamment dans les quartiers populaires. Tout en
  • explorant le contexte d'insécurité dans ce pays et dans cette ville, cette recherche s’intéresse aux actions de sécurisation, c'est à dire les actions qui donnent vie au processus de construction de la sécurité urbaine. La thèse commence en montrant les
  • accords et les divergences sur les questions de sécurité entre les niveaux nationaux et locaux du gouvernement. On observe que les représentations de gens sur les problèmes de criminalité dans les quartiers pauvres sont influencées par les controverses
  • publiques sur la sécurité, qui ont souvent un caractère très polarisé en termes idéologiques. Les personnes s’appuient parfois sur ces débats pour justifier des attitudes autoritaires ou, au contraire, pour faire valoir une conception de la sécurité fondée
  • sur le respect des droits humains, par exemple parmi les organisations sociales. Indépendamment des positions idéologiques, l'analyse des pratiques quotidiennes montre que vivre à Bogotá implique d’exercer et de subir un ensemble de pratiques de
  • surveillance qui modèlent un type de sociabilité qui peut être appelé securonormativité. La recherche montre que les actions de la sécurisation imprègne les formes quotidiennes d’appropriation de la ville, les conceptions de l'espace, les conflits territoriaux
  • Réinsertion sociale et trajectoires d'enfants de la rue à Kinshasa
  • Enfant des rues
  • Cette recherche porte sur les enfants de la rue à Kinshasa. Nous avons choisi d’étudier les rapports des enfants des rues aux institutions d’accueil à travers leurs pratiques d’entrées et de sorties de ces institutions. Une première phase de terrain
  • a été menée à Kinshasa au sein de quatre institutions d’accueil, nous avons observé les pratiques de ces quatre institutions et interrogé des jeunes ayant recours à ces va-et-vient. Dans un second temps, le terrain a porté sur l’une de ces institutions
  • . Deux notions ont constitué l’axe central de cette observation participante : celle de la reconnaissance et celle de l’autonomisation. En invitant les enfants à construire les conduites, les pratiques, et les stratégies qui leur paraissent les mieux
  • adaptées à leurs besoins, l’institution intègre ces deux dimensions dans les modalités de réinsertion sociale qu’elle propose. Les pratiques de responsabilités partagées, telles que la prise en charge des plus jeunes par les plus âgés, la participation des
  • leaders dans la rue ne sont pas reconnus comme tels. Des décisions sont imposées aux enfants, sans les consulter et sans tenir compte de leur expérience. Certains enfants se détournent alors de l’institution pour retourner dans la rue. Cette recherche
  • montre que les attentes de certains enfants insuffisamment prises en compte sont une des causes de leur insatisfaction qui conduit à leur mobilité.
  • Les nouvelles dynamiques urbaines dans la vallée du fleuve Sénégal : l'exemple des communes de Richard Toll, Ndioum et Ourossogui
  • Afrique de l'Ouest
  • Au Sénégal, l'urbanisation de la vallée est l'une des évolutions les plus marquantes intervenues au cours des deux dernières décennies. A partir des années 1990, l'érection de plus d'une dizaine de bourgades en centres urbains a considérablement
  • jeeri et par le déclin des villes du waalo, anciennes escales fluviales. Le long de la RN2 s'échelonnent des villes relativement récentes aux caractéristiques variables. Le réseau de transport national et la position géographique ont fait de Richard Toll
  • , Ndioum et Ourossogui des centres urbains émergents sur la rive gauche du fleuve Sénégal. La naissance des centres urbains et l'émergence d'un réseau urbain hiérarchisé et diversifié se sont déroulées dans un contexte de décentralisation. Les réformes
  • administratives et territoriales entrent dans le cadre d'un rééquilibrage du réseau urbain national et semblent être l'expression d'une nouvelle politique de développement essentiellement basée sur la décentralisation et le développement local.
  • modifié la trame urbaine de la vallée qui était jadis constituée d'anciennes escales fluviales (Saint Louis, Dagana, Podor et Matam). En effet, l'originalité de l'urbanisation de la vallée du fleuve Sénégal se caractérise par l'émergence des villes du
  • La métropole-village(s) de Ouagadougou : explorer les potentiels d'un territoire, supports de processus de projet architectural
  • Afrique de l'Ouest
  • Mode de vie
  • La ville africaine s'étale et intègre les villages environnants en devenant métropole. Que ce soit le mouvement des ruraux vers les villes ou bien de la ville vers la campagne, ces phénomènes inquiètent les spécialistes. La pensée traditionnelle du
  • monde qui opposait ville-campagne, ville-village, ville-brousse, n'est plus d'actualité. Les réalités du territoire sont devenues autres. Quels sont les outils qui nous permettent de lire ces nouvelles réalités? Comment opérer ce changement de «lunettes
  • la culture villageoise dite « non-lotie ». À force de coexistence, le développement de métropole n'a t-il pas engendré d'autres phénomènes, avec des degrés et des intensités variés de planification et de spontanéité? La rencontre des deux modes
  • » que nous propose Bernardo Secchi pour lire et écrire la «ville contemporaine»? Pour nos recherches, nous considérons Ouagadougou comme un véritable observatoire. L'objectif est d'apprendre des lieux d'initiatives où se construisent de nouveaux modes de
  • vie dans des dynamiques imprévues. Aujourd'hui, la capitale burkinabé est caractérisée par une double identité foncière. Une organisation foncière publique importée de la pensée coloniale dite « lotie », et une organisation foncière informelle issue de
  • opératoires ne définit pas un rapport dual, mais un intervalle. Dans ce contexte, le « village » entendu dans sa dimension sociale et communautaire devient, en milieu urbain, générateur d'espaces communs. Les structures communautaires testent les possibles et
  • Gaza City : analyse de transformations urbaines : 1917 - 2011
  • Permis de construire
  • 2011, aujourd’hui conditionné par la situation politique et géographique des Territoires Palestiniens Occupés. La ville de Gaza est le centre économique et administratif de la Bande de Gaza. Son développement urbain relève de cinq différentes
  • de la ville. Le tissu urbain, surtout dans le centre historique est, pourrait-on dire, de nature organique, sans grille de distribution et où rues et cul-de-sac résultent d’une parcellisation progressive. Dans de nombreux blocks la trame ancienne et
  • la réimplantation moderne se superposent avec une densité exceptionnelle d’occupation des sols. Le mot block relève du cadastre et n’a pas de signification morphologique: pour cette raison, il sera toujours en italiques. La thèse analyse la
  • transformation de la ville à travers les permis de construire, et présente le contexte historique de la ville, de la fin de période ottomane à la transition avec le Mandat Britannique. La création de la Bande de Gaza a conditionné le développement urbain de la
  • ville jusqu’à nos jours. L’étude a été arrêtée à la fin de 2011. L’étude aboutie est le fruit d’un va-et-vient entre les données qualitatives, issues d’entretiens plus ou moins fiables, les données empiriques des permis de construire, les plans et la
  • L’étude menée ici prétend clarifier certains problèmes-clés pour la compréhension des processus actuels qui affectent l'aménagement spatial de la ville de Gaza, et qui ont remodelé la ville depuis l’époque du Mandat britannique jusqu'à la fin de
  • La production de la périphérie nord de Lattaquié (Syrie). Stratégies d'acteurs et formes produites. : mécanismes généraux et application au cas des quartiers non réglementaires de Daatour et de Bisnada.
  • Les périphéries des villes syriennes, les unes agricoles ou maraîchères, les autres désertiques, ont connu au cours des dernières décennies du XXème siècle un puissant mouvement d’urbanisation, qui a très souvent donné naissance à des quartiers non
  • réglementaires ; ceux-ci occupent en moyenne 40% du territoire des agglomérations et à peu près le même pourcentage de leur population. La ville de Lattaquié, chef-lieu de mohafazat et principale ville de la Syrie méditerranéenne, se situe pratiquement au niveau
  • de cette moyenne nationale. La thèse est consacrée d’abord à analyser les raisons pour lesquelles les quartiers « clandestins » occupent une telle place alors que les pouvoirs publics n’ont cessé pendant des années de nier leur réalité. L’analyse
  • combine l’intensité des mouvements migratoires vers la ville, les faibles résultats de la production de logements sociaux par l’Etat, l’impéritie des sociétés immobilières publiques, le très faible investissement des capitaux privés dans le logement
  • locatif, et enfin les contraintes multiples imposées tant par les pouvoirs publics que par la municipalité de Lattaquié aux auto-constructeurs ou aux petits promoteurs privés (gel du foncier, plans d’aménagement urbain non publiés, difficultés d’obtention
  • des permis de construire, etc.). La thèse vise ensuite à étudier les changements opérés dans le champ de la production urbaine et de l’urbanisme à partir de l’an 2000 et de l’arrivée au pouvoir de Bachar Al-Assad. Après une analyse des changements
  • Le Caire : mise en place d'une ville moderne, 1867-1907
  • Le Caire
  • Entre 1867 et 1907, la ville du Caire est animée par de très fortes mutations. Elle devient la capitale de l'Égypte tandis que sa surface urbanisée et sa population doublent. Cette période est constituée de deux temps. D'abord, le khédive Ismail
  • , fasciné par les récentes transformations de Paris, s'attache à renouveler l'espace urbain cairote. Malgré les fortes réticences des investisseurs privés, ses services parviennent à mettre en place des nouveaux quartiers dont l'étendue dépasse le quart de
  • la vieille ville. Simultanément, le khédive fait réaliser plusieurs parcs et jardins et de nombreux édifices publics. Ces bouleversements sont interrompus en 1876 par la banqueroute des finances khédiviales et la mise en place de la Caisse de la dette
  • publique qui s'en suit. A partir de cette date, l'Etat se désengage très fortement des travaux d'édilité. Il limite ses activités à la mise en place d'une législation que ses services, faute de moyens financiers, s'avèrent incapables de faire respecter. Le
  • attaché à saisir les relations entre l'Etat et les investisseurs privés. Au cours de la première, ce sont les volontés du khédive qui déterminent l'urbanisation: il tente d'instrumentaliser les interventions privées au service de ses ambitions. A partir de
  • 1876, l'ineffectivité de la législation et les effets induits par les restrictions budgétaires imposées par le Service de la dette favorisent le développement des entreprises privées; au tournant du siècle, ce sont elles qui maîtrisent l'urbanisation du
  • Le Caire
  • Les stratégies d'adaptation à la congestion automobile dans les grandes métropoles : analyse à partir des cas de Paris, São Paulo et Mumbai
  • Politique des transports
  • L'objectif de cette recherche est d'analyser le rôle de la congestion automobile dans la vie quotidienne des ménages motorisés des grandes métropoles. La congestion est-elle plus intense dans les grandes métropoles des pays émergents ? La situation
  • automobile comme une perturbation interne du système automobile. A partir d'une approche systémique et comparative, nous étudions les manifestations sociales, spatiales et temporelles de la congestion automobile en Île-de-France et dans deux régions
  • métropolitaines de pays émergents, São Paulo au Brésil et Mumbai en Inde. L'étude s'appuie sur les enquêtes de déplacements des ménages et les données du trafic. Puis, nous examinons comment la puissance publique, les acteurs collectifs intermédiaires et les
  • ménages motorisés de ces métropoles s'adaptent à la congestion et interagissent. Pour cela, nous menons une évaluation de la politique de transport de ces régions, enquêtons sur les stratégies des entreprises et des associations, et réalisons une enquête
  • dans ces grandes métropoles préfigure-t-elle l'avenir de l'Île-de-France, compte tenu d'une offre viaire qui se stabilise et d'une multiplication des déplacements automobiles de banlieue à banlieue ? Nous partons de la définition de la congestion
  • interactive de réponses déclarées auprès des ménages motorisés, suivie d'un questionnaire en Île-de-France.
  • Forme de ville rencontre des formes de vie et de l’imaginaire de l’habiter
  • Image de la ville
  • Espace de l’habiter
  • l’espace de l’habiter uniquement dans sa morphologie, sa location et son mode conceptuel. Elle s’applique à être celle qui traduit la réalité des activités de l’habiter, conditionnées très souvent par les décisions politiques de manière significative. Cette
  • l’interprétation de Husserl (Idées I) sur le catégorial du monde de la vie qui porte très haut le sens de l’espace de l’habiter. Dans cette logique, si le champ des singularités des activités de l’habiter insère l’être-au-monde, la pensée de Hölderlinienne
  • : (« l’humain habite en poète », poème : «Terre et ciel»), la représentation de la perception de l’espace de l’habiter remet la question : l’humain habite-t-il en poète à Guelma ? Sur cette perspective se constitue le fondamental de cette thèse qui fait du monde
  • de la vie, un espace de l’habiter poétique que l’on ne saurait le définir qu’à travers les pratiques qui paraissent dans les gestes, la parole, l’évaluation, le rêve, la flânerie, la signification affective du paysage quotidien, les histoires
  • La présente recherche se propose d’étudier la représentation de la perception des acteurs de l’habiter qui n’aspirent qu’à l’adaptabilité de leur monde de vie [l’espace habité]. Cette recherche sort ainsi du cadre des limites qui visent à structurer
  • réalité agit comme une force qui nous pousse à mieux la comprendre. Et delà savoir comment s’enracine et se fonde l’expérience du monde de la vie qui s’établit dans un cadre particulier, la ville de Guelma (ville de l’est algérien). En faisant référence à