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  • Malgré des dysfonctionnements institutionnels et une forte concentration du pouvoir, les bons résultats économiques du pays ont surpris les observateurs, qu'il s'agisse de la croissance, de l'inflation, de la production industrielle et agricole ou
  • du dynamisme du secteur privé. Certaines faiblesses portent néanmoins sur les déficits, la hauteur de la dette, la non restructuration du secteur bancaire, des privatisations contestées.
  • 1998
  • Avec une baisse du PIB de 15% en 1997, le pays occupe la dernière place parmi tous les pays de l'ex-bloc communiste. Chute due aux très mauvais résultats du secteur gazier qui contribue pour la moitié au PIB et pour les deux tiers aux exportations
  • . Le peu d'avancées dans les réformes structurelles et les privatisations, l'autoritarisme du régime font que ce pays est le seul de la région à ne pas avoir passé d'accord avec le FMI.
  • 1998
  • Quelques aspects positifs en 1997 : maîtrise de l'inflation, stabilité du rouble, et reprise de l'activité. Fragilité et réversibilité de ces tendances à l'amélioration. La situation budgétaire demeure tendue du fait de la faible capacité de l'Etat
  • à collecter l'impôt. Le redressement de la demande intérieure est aléatoire, ainsi que le maintien des bonnes performances du commerce extérieur. Les réformes structurelles pouraient être entravées par la majorité parlementaire.
  • 1998
  • Croissance économique portée en 1997 par le dynamisme de l'industrie, du bâtiment, du tourisme et des transports. Le pays bénéficie d'un régime douanier très libéral. Commerce déficitaire, mais facilité par l'accord de libre-échange conclu avec l'UE
  • . La phase finale des privatisations approche. Baisse de l'inflation et du déficit budgétaire. Ces facteurs positifs expliquent pourquoi la candidature estonienne a été retenue par l'UE.
  • 1998
  • néanmoins précaires en raison du creusement du déficit des administrations publiques et de celui des comptes extérieurs. Ils sont hypothéqués par le retard pris dans le domaine des réformes structurelles.
  • 1998
  • Serbie-Monténégro 1997. Au bord du précipice
  • 1998
  • , fiscal, de protection sociale, et en matière de privatisations ou de réduction des déficits. Légère amélioration du niveau de vie, ainsi que du marché de l'emploi.
  • 1998
  • Après l'effondrement en 1996-97, les autorités se sont employées à restaurer un ordre public minimal et à convaincre la communauté internationale de reprendre son soutien financier. Priorités du nouveau gouvernement : reconstitution du système
  • 1998
  • Croissance limitée à 3,3% en 1997 malgré un développement des services. Manque d'investissements, absence de restructuration industrielle, agriculture trop parcellaire. Absence de règlement du conflit du Haut-Karabakh. Importants déficits commercial
  • 1998
  • Amélioration de la situation économique. Dynamisme du secteur du bâtiment et hausse des recettes touristiques. Chômage demeurant élevé mais politique monétaire rigoureuse. Déséquilibre menaçant des comptes extérieurs. Dévaluation préconisée. Paysage
  • 1998
  • Situation de crise grave depuis le second semestre 1996. La forte baisse de la production industrielle a contribué à la chute du PIB. Mise en place d'un directoire financier par le FMI pour agir sur une inflation galopante. Amenuisement des déficits
  • et reconstitution des réserves de devises. Sacrifices énormes pour la population. Aggravation du chômage.
  • 1998
  • récession et d'une baisse du niveau de vie. 1997 a été une bonne année pour les investissements étrangers. Ce regain de capitaux étrangers et la hausse du chômage dans certains secteurs industriels marquent l'entrée effective de l'économie dans la phase
  • 1998
  • -dessous de 3% du PIB grâce aux recettes des privatisations. Toutefois, la progression des importations entraîne un creusement du déficit commercial. Evolution inquiétante en partie compensée par l'afflux d'investissements étrangers.
  • 1998
  • Dégradation de la situation en 1997, avec une baisse de la production industrielle, une difficile restructuration du monde agricole, une baisse de la compétitivité, et le manque de ressources budgétaires. Importante dévaluation de la couronne. La
  • 1998
  • d'une telle décision sur l'activité économique d'un pays où règne la monoculture du coton, qui possède une base industrielle étroite et effectue peu d'échanges.
  • 1998
  • de la population. Réformes structurelles encore peu avancées. Problèmes sociaux liés au conflit du Haut-Karabakh.
  • 1998
  • . Accroissement de la dette et creusement du déficit budgétaire. les réformes structurelles marquent le pas, freinées par l'opposition parlementaire.
  • 1998
  • de conflits ethniques. Rareté des investisseurs étrangers malgré l'avancement des réformes structurelles dans l'industrie et les services. Méfiance accrue des petits épargnants vis-à-vis du système financier.
  • 1998
  • Avec la thérapie de choc, le pays a connu un pic de récession en 1994, tendance inversée en 1996 et confirmée en 1997 avec une croissance du PIB de 6,2%, grâce au secteur extractif. La réforme agraire et la privatisation, malgré certaines
  • 1998