L'A. retrace l'histoire de la conception et de la construction des deux trains Bagdad-Bahn et Hedschas-Bahn par le Reich allemand à travers l'empire ottoman. La construction a débuté au début du 20e siècle. L'A. insiste sur les enjeux politiques
Sediment discharge of the River Tigris at Bagdad (Iraq) in Hydrology of areas of low precipitation.
Le Tigre draine à l'amont de Bagdad un bassin de 134000km. Le débit moyen interannuel du fleuve à cette station est de 1140m/s (1930-1975). Les transports moyens annuels en suspension sont estimés à 4,6 millions de tonnes (1969-1975), soit une
Utilisant des méthodes statistiques classiques, les AA. proposent une prévision de l'écoulement minimal du Tigre à Bagdad en période de sécheresse et d'étiage, correspondant à une probabilité de retour donnée: 176 m/s pour les étiages décennaux, 137
En 1930-31, les archéologues de l'ASOR de Bagdad découvraient une tablette à Nuzi (Jorghan Tepe, Irak) représentant la plus ancienne carte géographique connue (période akkadienne ancienne 2360-2180 av.J.-C.). Elle indique, au SO, la ville de Maskan
dans son rapport de force avec ses ennemis, création d'un axe parallèle Damas, Bagdad, Téhéran. Solidité de cet axe en dépit du succès du Refah aux élections législatives. Il est un défi pour les Etats arabes dont le régime est proaméricain.
de l'occupation de Bagdad entre 2003 et 2007. Les représentations graphiques de la ville ont été au coeur de la stratégie mise en place contre les insurgés, créant à la fois un imaginaire géopolitique et biopolitique, légitimant de fait l'intervention
agraires de 1958 et de 1970 ne sont pas arrivées à freiner l'exode rural vers les grandes villes et surtout vers Bagdad. Il en est résulté un déclin de l'agriculture, une accentuation du déficit alimentaire et une ruralisation des villes. (M. Lachneb).
de l'artisanat vers les services, l'agriculture, la construction et les moyens de communications, surtout de la part des moins âgés et des moins diplômés et de ceux qui n'étaient pas originaires de Bagdad.
agglomérations irakiennes, et surtout de Bagdad, ils se sont installés dans les faubourgs de la capitale syrienne. Ni la Syrie, ni le Haut Commissariat aux Réfugiés des Nations Unies n'ont ouvert de camps pour accueillir les réfugiés, qui forment aujourd'hui