On peut décrire la structure spatiale des cultures de maïs et de blé, à l'aide d'un modèle de champ aléatoire, dont une des composantes correspond à une tendance régionale, l'autre, à des interactions locales. L'existence d'une autocorrélation
spatiale dans la composante locale pose des problèmes d'estimation statistique. Les variations temporelles et les paramètres d'interaction constituent une fonction des fluctuations climatiques. La composante locale tient compte de l'autocorrélation spatiale