Potentialités touristiques et patrimoines culturels chez les communautés rurales de Bayanga et de Mbéko en République Centrafricaine : représentations des différents acteurs et enjeux
dessystèmesde valeurs, les relations de dominants à dominés avec le projet APDS. re thèse. Un certain nombre d’activités ont été réalisées dans ce sens. Pour mener à terme les investigations, nous avons procédé à 3 démarches méthodologique
La mise en valeur des ressources naturelles et culturelles est l’une des priorités nationales pouvant concourir à l’éradication de la pauvreté. C’est dans ce cadre que se situe notre proposition de thèse. Après une présentation succincte des
contextes géographiques et scientifiques, la méthodologie a été abordée, ainsi que le cadre conceptuel, les hypothèses et la problématique. Deux sous - préfectures nous semblent particulièrement intéressantes: la sous-préfecture de Mbaïki et celle de Bayanga
. En effet, elles font partie du massif forestier du Sud - Ouest centrafricain, l’un des plus riches d’Afrique. Aux côtés des potentialités patrimoniales culturelles, ils constituent des potentialités touristiques. La forêt a toujours été une des
composantes fondamentales du milieu de vie des populations du fait des produits de cueillette, de chasse et de bois qu’elles y récoltent et des inspirations culturelles qu’elles y puisent. Ces sanctuaires sont devenus des enjeux majeurs. C’est une réflexion
que nous avore des retombée, cela n’est pas le cas, par contre il ya trop de plainte, la pauvreté sévie, ce qui entraine le sentiment de rejet du projet APDS. Dans ce sens, des efforts restent à faire au niveau du projet APDS ; le constat disparition
La mendicité des élèves coraniques en milieu urbain au Sénégal
Afrique de l'Ouest
considérations religieuses. -Mendier et être pris en charge : cette prise en charge des "Talibés" consacre la superposition de logiques parfois incompatibles. Il s’agit d’éradiquer un systèmede don par un autre. Les ONG et associations vivent de l’aide
Initialement, les écoles coraniques (« Daaras ») sont majoritairement rurales et survivent de l’agriculture. Les dégradations environnementales entre 1975 et 1985 , et la faillite des politiques agricoles ont appauvri le monde paysan et accéléré la
migration des « Daaras » vers les villes. Idéologiquement, le parent confie son enfant, l’élève nommé « Talibé » à un maître coranique (« Marabout »). La sacralité du coran combinée à l'éducation traditionnelle confère au maître une autorité inconditionnelle
sur l'enfant durant toute la durée de son apprentissage. Le « Talibé » doit souffrir pour apprendre l’humilité, pratiquer la foi, et gagner le paradis. Cette interprétation coranique ajoutée à la valeur de l’aumône (« zakat ») fait qu’il est normal
dans la société Sénégalaise de donner à un "Talibé". La mendicité de dizaines de milliers d’enfants dans les villes résulte de la migration des ruraux et de la découverte par les marabouts de la monétarisation des rapports humains en milieu urbain
. D’une migration pour des causes d’ordre répulsives à l'origine, elle se décline souvent en attractivité, en exploitation, en trafic d’enfants. Ce Merchandising du don religieux, de l’offrande, du sacrifice résulte d'une offre infinie en matière d’aumône