‘The Root Is Maya, the Practice Is Pluralist’: Xel-jú and Indigenous Political Mobilisation in Quetzaltenango, Guatemala

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Description :
L’A. étudie la victoire électorale de Rigoberto Quem´e Chay, premier maire indigène de la ville de Quetzaltenango au Guatemala, longtemps marquée par le racisme et l’exclusion. Il analyse ses deux mandats et les raisons de son échec en 2004, au travers de la lutte idéologique qui s’en est suivie au sein de l’organisation politique Xel-ju. Pour ce faire, il utilise les différents mouvements de « départ », de « manœuvre » et d’ « arrivée » pour expliquer le processus d’élaboration d’une vision hégémonique du pouvoir politique.#Since the 1990s Latin America has witnessed the emergence of ethnic, often social movement-based, political parties. Within this context Rigoberto Quemé Chay became the first indigenous mayor of Quetzaltenango, the second-largest city of Guatemala, a place that until then had been marked by indigenous political exclusion and racism. This article seeks to explain why Quemé was victorious in 1995 and also why he subsequently lost the election in 2004 through an analysis of the ideational struggle within the (indigenous) political organisation, Xel-jú, which backed Quemé's candidacy twice. I use the movements of ‘departure’, ‘manoeuvre’ and ‘arrival’ in the process of the constitution of hegemonic visions of power to analyse Xel-jú's rise to political power.


Type de document :
Article de périodique

Source :
Bulletin of Latin American research (Online), issn : 1470-9856, 2012, vol. 31, n°. 1, p. 80-94, nombre de pages : 15

Date :
2012

Identifiants :
eurl : http://www.wiley.com, doi : http://dx.doi.org/10.1111/j.1470-9856.2011.00641.x

Editeur :
Pays édition : Royaume-Uni, Oxford, Blackwell